Les fleurs de l’âme – Martine Brûlé
Est-ce à Baudelaire que je dois ce goût des vers Ou aux alcools d’Apollinaire, moi je m’y perds Alors qu’au petit matin, oui, c’est bien à jeun Que je m’évade d’un rien au son d’un serin Aurais-je été plus sage sous ta plume Ronsard Cultivant plus d’une page à la fleur de mon âge Moins … Lire plus