B onjour, maman, grosses bises en ce jour anniversaire,
O n ne peut pas oublier ce parent dont
N otre chair est sienne.
N aître de ce ventre, je me remémore;
E n quelques instants, les larmes me montent aux yeux.
F ragile, tu paraissais. toujours joyeuse même quand tu étais
E n souffrance, douleurs pour toi, douleurs pour nous,
T ant de nuits blanches s’étaient gravées sur ton visage.
E t tes beaux cheveux blonds avaient passés.
M aintenant que le ciel t’as rappelée, tu as quitté cette vie,
A u-delà de ma douleur rien n’ai fini.!
M on étoile tu seras et brillera dans mon cœur à l’infini
A nge du ciel, désormais, tu veilles sur ma vie
N e pas pleurer, pas si facile… Maman Chérie.
**poètamateur
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Ici que dire ? Cet acrostiche, merveilleusement et subtilement écrit est émouvant. Vous exprimez d’une manière condensée des pensées et sentiments sincèces et profonds, un peu similaires à ceux que je traduis dans “Man-man doudou, Doudou Man-man”, poésie de fête de “mère-père” et de “père-mère” que je n’ai pas osé publier hier. Il est écrit en créole.
“Ne pas pleurer…pas facile”. Pleurer est thérapie. Il est dans l’absence. Dans le deuil. Il l’est pour la Mémoire du souvenir.
Il est beau votre texte qui n’apparait pas sur votre blog.
Merci, pour le partage de ce poème, dédié à titre posthume, à celle qu’on aime : sa maman ! Et ces acrostiches qui s’affichent donnent à cet hommage un côté riche ! Merci encore !