POÈME À LA MÉMOIRE DE JOHNNY
Adieu l’artiste, Aldrick Le Mat
Un blanc projeté sur l’homme en noir
Bestial dans tous les instincts.
En scène il donne de sa voix
Et brise les cordes à chaque instant.
Un frisson qui dresse le poil.
Quand le pied tape le bon rythme.
La sueur sur ces fronts pâles
Pour vivre l’hymne du mythe.
Le micro vacille en mains moites
Les blessés en cassent leur plâtre
Le boum des basses déboite
Pour la furie qui l’idolâtrent.
Dans le twist ils se bousculaient
Aux pas dansants désarticulés,
Le corps vit ces valses endiablées.
Au rock si dur, le sol tremblait.
La voix roque et indémodable
Sur l’amour, l’envie, et caetera
De ses refrains formidables
Pour toujours on se rappellera.
Quand ta flamme n’est que lueur
Les chants eux sont bien éternels.
Qu’ils chauffent nos coeurs
Et caresseront à jamais nos oreilles.
Très bel hommage émouvant, je retiens ce passage:
Quand ta flamme n’est que lueur
Les chants eux sont bien éternels.
Qu’ils chauffent nos coeurs
Et caresseront à jamais nos oreilles.
Bravo poète
Bienvenue parmi nous
Mes amitiés
Fattoum.
Voici un très touchant commentaire que je viens de lire.
J’y mets mon coeur.
Merci
Mes amitiés.
Aldrick
Sous le soirs de Bercy et du désespoir il caresse à jamais la corde de nos âmes.
Merci de ce bel hommage pour ce grand homme.
Anne
On l’aimait, merci à vous.
Que sa voix résonne encore dans nos oreilles, ce sera le plus bel hommage
Merci encore
Aldrick
Merci pour ce bel hommage poétique !
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Merci d’y penser.
Je reste à votre écoute si besoin.
Bien à vous,
Alain
Merci, Monsieur Bonati.
J’avais fais une petite pause écriture due à mes examens scolaires.
Je règle cela de suite.
Aldrick