J’aime quand tu avoues, lorsque tu te confesses
Lorsque tu reconnais avec grande tristesse
Que ton bel amour fou te manque énormément
Que tu lui tiens la main, tu en fais le serment
Que docile et aimante, à lui tu t’abandonnes
Lui offrant le meilleur sans qu’il te l’ordonne
Lorsque tes yeux luisants expriment le bonheur
Et que ton corps entier s’extasie de chaleur
Lorsque ceci t’arrive, à toi qui me reviens
C’est que nos liens sont forts, dis-moi, tu en conviens
Ôte de tes idées le doute qui te ronge
Et fais-moi l’offrande de ce à quoi je songe
Brahim B.
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J’ai l’impression d’être une petite souris qui regarde et qui attends , presque comme une morceau de bruyere qui tomberai de la table.
La dame est obligé d’avouer…
Merci, Anne, pour ce commentaire plein d’humour qui embellit ce poème d’amour !