Miel nectar des dieux nos fils de soie s’enlacent
Entends le clapotis des ruisseaux c’est l’été
Du vieux ponton la senteur de melon sucré
Brûlant vertige loin des regards qui passent
Insensé qui songerait désunir le pétale de la fleur
Fendant l’air intrépide tel pélican plongeur
Au creux des palmiers clairs dénudés par le vent
Demain tout comme hier tu sais que je t’attends.
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c’est superbe, vraiment
j’ai aimé, beaucoup
Chantal
C’est d’une beauté comme il se devrait toujours même dans le sombre
J’ai adoré
Sandra