Douce convalescence
À l’éveil matinal, une humeur gracieuse
Réveille la douce, la belle dormeuse.
En ce lit, ses pétales aux milles merveilles
Font éclore de ses yeux la douceur du miel.
Son front chaud, rosé de température
Que mes lèvres effleurent, pour consoler les maux
Et enjoliver ne serai ce qu’un moment
Cette fleur, d’un baume de désinvolture.
Ce visage en éclat, au ciel qui se fade
Dans mes mains son cœur, couvé comme un bébé.
Et de lavande et de jasmin parfumé…
Comme j’aimerai en être si souvent malade.
Aldrick M.
Nombre de Vues:
35 vues