Quand les bléssures de la vie
Nous poursuivent sans merci
Nous apprenons par habitude
Que notre quête de la Plénitude
Engendre, inéluctablement,
De grands tourments.
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Il suffirait peut-être l’instant de grâce
Pour la garder à Jamais ?
–
Faudrait-il encore la prier,
Y croire et ne pas la rejeter
Afin qu’en son heure,
Dans notre faible droiture
Nos forces et nos mesures,
Sa Lumière, en nous, brille éternellement.
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Alors en bon et fidèle serviteur,
Nous essayons, en singulières tâches,
De lui offrir nos plus belles couleurs,
Surtout celles de notre beauté intérieure.
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Dominé Jean-Claude.
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“La beauté intérieure” ! Là est l’essentiel ! Merci de le rappeler.
Une certaine idée du plain chant…