La lueur de la nuit éclaire les jours d’automne, Les jours ne combattent plus les nuits éternelles. Des mains tremblantes rythment le temps monotone, Une voix se plait dans de lointaines ritournelles. Le givre hivernal recouvre un visage usé, Des crevasses profondes font revivre le passé. Une vielle horloge solitaire prolonge le présent, Les portes de l’espérance ne s’ouvrent plus sur un futur indécent. Dans sa mémoire, la bibliothèque du savoir, celui du souvenir Recueils d’une vie qui lui plait à redécouvrir. Un regard vous accueille; les lèvres ne peuvent plus sourire, Seul, subsiste un murmure amoureux pour se plaindre et bénir. Un DIEU frappe à sa porte, et voit ses larmes, Il lui donne une trêve à ses douloureuses alarmes. Dans le lointain l’on entend le grondement de l’orage. Et le retrait des flots loin du rivage.
© 2017 – *Paul Crozet-Fourneyron |
Très beau poème sur la tristesse de la vieillesse.
Je vous remercie beaucoup pour votre compréhension pour le débutant que je suis. Je vous souhaite un excellent dimanche
Merci
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Je reste à votre écoute.
Bien à vous,
Alain
Poème qui dit tout de la fin des parcours…vers irréguliers y rajoutent de l’encours..
Merci!
Je vous remercie de votre message qui me touche beaucoup
Merci pour cette belle introduction poétique Paul !
Nous avons hâte de découvrir vos autres textes…
Bien à vous,
ALain
Vos mots me touchent beaucoup, d’autant que je suis débutant dans l’écriture, bien entendu je vais poursuivre le chemin en compagnie de “PLUME DE POETE” bon week end
Avec grand plaisir Paul !
A bientôt de vous lire à nouveau…
Amitiés,
Alain