Un papier, un crayon pour te dire au revoir
Ma Viviane que je considère comme ma grande sœur.
Un papier, un crayon pour ce désespoir,
Pour ce grand chagrin qui m’envahit tout le cœur.
Pourquoi es-tu partie si vite ? Pourquoi si tôt ?
Nous avions bavardé avant. Tu semblais bien…
A quoi ça sert maintenant ces trois petits mots
Puisque tu n’es plus là, non qu’il n’y a plus rien…
Me restera de toi de tendres souvenirs
Comme la fois où avait coulé ton maquillage.
Nous avions eu ce jour là une crise de fou rire.
Du rimmel avait coulé sur ton bon visage.
Au revoir ma tendre sœur, reposes bien en paix
Puisqu’ici, avec eux, tu ne l’as pas trouvée.
Va vite alors rejoindre Jacques, ton père bien aimé
Qui t’a tant manqué durant, ces longues années.
Ta sœurette, je te l’assure, ne t’oubliera pas.
Chaque jour, chaque nuit, chaque saison ou bien chaque moment,
Tu seras là en moi, peu importe le temps.
Au revoir ma bonne fée, je t’embrasse ici-bas.
Texte écrit par Odile Stonham @ Tous droits réservés