Vous qui êtes partis depuis déjà quelques années,
En ce mardi soir, je vous l’écris : vous me manquez !
Dorénavant, je ne vous verrai plus le matin
Quand j’allais ouvrir la porte donnant sur le jardin.
Ce soir, c’est fini. Je ne vous appellerai plus
Car vous tous, séparément, vous avez disparu.
Je n’apercevrai plus aussi vos si chères silhouettes
Quand vous attendiez sur le rebord d’une des fenêtres…
Vous n’êtes pas non plus oubliées mes autres mimis.
Vous êtes là dans mon coeur, à tout jamais. Vous aussi.
Texte écrit par Odile Stonham @ Tous droits réservés
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Puissent tous les oiseaux du monde entonner ce poème comme une ritournelle de retrouvailles !
Merci pour ce partage de souvenirs et d’images émanant d’une personne sage !