Un bon vent veille sur mon odyssée
J’abandonne les valises de mon ennui,
Emplies d’idées toutes ridées, plutôt abjectes
Tout ça pour avancer, exécuter un reset, un éjecte
Car je vis sans être walou de magie,
Aux sans nuits nenni dormantes,
Aux cent jours d’une joie tranchante
Au soleil brillant à la destinée contemporaine,
Au ciel de Mai qui s’tape une bonne veine.
Les couleurs de peaux sont existentielles
Un arc de l’enfance, de la terre, de l’eau, du ciel.
Du feu, parlant rues de Lille, Paris, Marseille
Telle la conviction primitive, au goût de l’éternel
Goût originel, comme on peut avoir une vie naturelle
La chimère est mon guide,
Une écriture puissante destinée à briller.
Cherchant la chaleur, la philanthropie,
Un désir infini… sans doute,
Et ce dont j’ai assidûment rêvé,
C’est de mon cœur envoûtant.
Au goût de l’éternel
Au goût originel
Au goût originel
Dans le clair-obscur, l’écriture se fait lumière lucide,
Des mots burlesques se dressent, aux affres des suicides,
Je répare mon existence utopique et bigarrée,
Capturée entre les guillemets de ma vie inspirée,
De mes amulettes la vérité est énigmatique,
Et purement de mes belles nuits
Je chope des vents charismatiques,
L’altruisme comme ami,
Où ma ville onirique s’éveille,
Aux rêves fougueux de mon culte du ciel.
La chimère est mon guide,
Une écriture puissante destinée à briller.
Cherchant la chaleur, la philanthropie,
Un désir infini… sans doute,
Et ce dont j’ai assidûment rêvé,
C’est de mon cœur envoûtant.
Au goût de l’éternel
Au goût originel
Au goût originel