Sous un ciel de feu, par une nuit d’été, au son d’un tango, deux amoureux dansaient Un tango endiablé ! Ils tournaient, louvoyaient, avec fouge sur la piste, s’enlaçant avec emphase Une foule amassée, tout autour, les regardait caracoler, au son de la musique, et voltiger, avec légèreté sur la piste. Il faisait chaud, et l’air était électrique. Le couple se déplaçait, avec grâce et volupté, sur l’aire de danse improvisée. | C’était en Espagne, à Barcelone, qu’un jour, ils s’étaient rencontrés. L’amour de la danse et du tango les avait réunis pour la vie. La nuit était claire, les étoiles scintillaient dans ciel, tandis que la lune projetait leur ombre, mouvante et souple sur le sol. Les gens tout autour, regardaient au début, puis se laissèrent emporter par l’ambiance festive , et le son des bandonéons. Toute la nuit, ils dansèrent, entraînant la foule échauffée dans leurs pas, la nuit de la Saint jean par une nuit chaude du mois de juin. |
Très bel hommage au tango, cette danse si sensuelle et si intime, j’adore votre poème qui unit étroitement 2 êtres physiquement et amoureusement, sur des airs langoureux de bandonéon. j’ai toujours admiré cette union en musique des corps. Bravo !
MARIE