Le vivant dormeur – Aldrick Le Mat
Paupières lourdes de sables, Demi lunes somnolentes. Endormi L’une de ces feuilles d’érable, Aux volées mirobolantes. La nuit un menu à sa faim, Des jours écourtés qu’il badine, Affamé. Un sommeil jamais ne s’enfreint, Convaincu du qui dort dîne. Seul, il se dort pour mieux rêver, La corne de brume, s’échouant. Réveillé Aux ports … Lire plus