La muse que je dépeins – Aldrick Le Mat

Au loin j’apercevais par dessus cet étang Un banc qui me parut si beau si confortable Celui-ci brillait de son bois d’acajou tant Le rouge de l’écorce fut éclatant     Je trouvais si navrant qu’aucune fille n’y soit D’une brindille j’exauçais ce souhait La muse fut brune les épaules dorées La nuque rougie par … Lire plus