Si le poète pleure
Les lèvres absentes,
Tous me parlent
De toi.
L’abeille dans sa quête,
Le vol de l’hirondelle,
Les fleurs du jardin,
Le souffle du vent,
Les cloches muettes
De l’élégant muguet,
Un air de guitare,
Un sourire d’enfant,
Le soleil de décembre,
L’aube qui blanchit.
L’écho de ta voix
Ricoche dans l’instant
Suspendu d’un silence
Plus fort que la mort,
Ton absence emplit l’espace,
Comme l’eau vive du torrent
Enlace les pierres, elle murmure
Sa prière angélique au fil des jours.
La peine et les regrets s’effacent.
Je le sais maintenant,
Demain, tu seras toujours là.
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c’est vrai…
Tout se résume dans le dernier vers de de prime poème !
Bienvenue Gérard et merci pour cette belle introduction poétique !
Nous avons hâte de découvrir vos autres textes et nous vous félicitons pour votre parcours.
Au plaisir de vous lire.
Alain
Alain, merci pour cet accueil chaleureux !
C’est avec grand plaisir Gérard