Paris
Il était une fois, un Paris qui n’est plus…
La seine à capturé pour toujours nos rires d’enfants, notre insouciance
elle nous promettait, qu’ELLE et nous, ce serait pour toujours, elle a promis à tous, que ce serait pour la vie.
Baudelaire écoutait le roulement des fiacres passés
Capturant le silence de ce Paris à deux heures du matin.
Hemingway disait, que Paris était une fête.
Pour cet homme, le plus beau Paris, ce fut celui, où il fut le plus pauvre mais le plus heureux.
Guillaume Apollinaire et son célèbre pont.
Depuis 1913 l’univers sait que sous le pont Mirabeau coule la Seine et nos fameux amours.
Jacques Prévert narrait partout, que la Seine n’avait aucun souci, qu’elle coulait de source.
Louis Aragon lui, la voyait révolutionnaire, ayant une odeur de poudre
Paris défiant tous les dangers où il faisait bon, même au cœur de l’orage
Victor Hugo la tutoyait, lui disant qu’elle ferait agenouiller l’histoire.
Tous ses artistes ; Van Gogh, Boris Vian ; Victor Hugo et bien d’autres
tous ses poètes maudits amoureux de cette ville !
Paris souvent outragé, souvent critiqué, tagué, brulé mais toujours debout.
Je monte en haut du sacré cœur, le plus haut possible comme un sacerdoce.
Monter tout en haut voir Paris dans toute sa splendeur.
Monter des marches de 30 cm pendant vingt minutes, le chemin est difficile
puis un écriteau ; Vous avez monté 173 marches, vous êtes au tiers du parcours, sourire.
S’arrêter regarder les travaux fait par les Maitres d’œuvre du moment. Des compagnons…
Tout ce mérite…
Enfin, dominer cette Ville.
Faut avoir grandi entre ses bras pour comprendre cet amour viscéral
Paris, tu avais raison, le jour ou l’on t’aime on ne t’oublie jamais.
Bravo, Anne, pour ce partage qui offre un beau voyage dans Paris la merveilleuse capitale que le visiteur n’oublie pas !