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Colette, je ne puis m’empêcher de penser, en lisant ce texte saillant comme un défi lancé, flêche assurée de votre carquois, que vos textes, depuis un certain temps, revêtent une toute autre dimension.
Une voix d’hardiesse parle à notre ère. S’adresse à notre temps.
Une poétesse telle une prophétesse se lève, et se tient debout, les genoux affermis. Et porte loin sa voix assurée qui défie des nontagnes pour qu’elles deviennent vallées.
On l’entend. Je l’entends votre voix et sea échos. Je dis bravo !
Merci, Colette, d’être la voix unique que vous êtes.
Aux petits chefaillons qui veulent plaire à leur supérieur, pour un jour à leur tour avoir des petits chefaillons pour leur cirer les bottes.
Bien dit tout ceci Colette