Il y’a un temps pour sentir
Un temps pour ressentir
Un autre pour transcrire
Enfin un pour écrire
Je ne cherche pas lecture
Mes mots non comptés
Mais plutôt racontés
Je veux déverser
Cette haine séduisante
Dans mes larmes présentes
Je m’empresse voir la mer
Une mer d’amour en pleurs
Pour le bien de mes frères
J’y enfouis cette horreur
Disparait à tout jamais!
Dissoute en bonheur
Mensonge quand je me lève
En songe, j’ai fait un rêve
Au rendez-vous de la tristesse
Les cœurs, sur cette plage
En chœur, tous en miettes
Toujours là à se battre
Bénévole de l’amour
Je récolte tous vos pleurs
Bienvenues pour la mer
Qui attend son heure
Pour saluer nos vies
De paix je précise
Pour laver nos rues
Un tsunami d’amour sur Paris
Poète fou. (Paris si l’amour) 14/11/2015
Oui merci Véronique, c’est cette idée de fuite du mal qui ressort.
Vous êtes si sensible.
Amitié débordante
Poète fou.
J’aime, je ressens le staccato de la fuite affolée… des mots. Un beau témoignage.