Comme l’eau d’une rivière
qui passe inlassablement sur les galets,
le temps peut éroder les sentiments
et parfois les faire disparaître.
Si en plus, l’éloignement intervient,
au lieu d’attiser l’amour,
il peut d’abord angoisser, puis lasser
suite à une longue absence.
Le temps qui passe
installe souvent une routine
qui le scande, le rythme
et installe la lassitude.
Telle l’eau d’une rivière,
qui inlassablement s’écoule
sur les galets et les polit
le temps peut séparer les cœurs
Pourtant, il y aurait moyen
d’échapper à cette routine
qui nous lamine et nous fait côtoyer
l‘oubli de l’autre.
Il suffit de faire l’effort de le structurer,
d’activer son imagination
de varier les activités,
d’y mettre de la patience.
.
Il nous burine,
nous marque de son empreinte,
fait en sorte que toute chose
un jour a une fin.
L’usure du temps
nous transforme
et telle l’eau d’une rivière,
nous use et nous mène au bout du chemin.
Eric de La Brume
Le 5 mai 2018
Voilà un temps passé agréablement à vous lire Eric, dommage qu’il file si vite, on en redemande !
Wow qu’est ce qu’il est beau votre texte Eric, hé ben oui le pouvoir du temps use beaucoup de choses. Mais ça reste des beaux souvenirs ou des mauvais souvenirs. Et ceci est le rôle de la mémoire. Qui nous permet d’apprendre de nos expériences et de connaitre mieux les gens et le monde. et là on revient à nos interlocuteurs d’une façon plus utile et plus logique.
Agréable journée
Mes amitiés sincères
Fattoum.
Magnifique Eric !
Je ne me lasse pas de vous lire, votre écriture me ravi…
Merci pour vos beaux partages poétiques.
Bien à vous,
Alain
Comme l’eau d’un torrent et ses petits ronds dans l’eau….j’aime beaucoup le texte de présentation d’auteur il donne l’e,vie de découvre votre univers.