« Invivable » est le mot
Qu’on entend dans la rue
Les brûlures de la peau
Et tout le corps qui sue
Un air irrespirable
Des gens déboussolés
Un monde invivable
Des régions isolées
Serait-ce l’enfer sur terre
L’avenir le dira
Terrible atmosphère
Qui, espérons, finira
Mais qu’avons-nous donc fait
Pour mériter se sort
La chaleur nous défait
Nous menaçant de mort
Dieu, qui êtes au ciel
Ayez pitié de nous
Éloignez donc ce fiel
Grand destructeur de tout
Brahim. B
Merci Brahim pour votre poème qui souffre comme les miens d’être si peu entendus…merci pour le partage qui ne manque pas de sens…JC
Brahim, Que Dieu entende votre prière! bonne soirée Colette