L’ épis de blé qu’ on égraine,
c’ est un peu comme le temps qui
passe, ça vous glisse entre les doigts.
En tout cas, c’ est avec le blé bien mûri au
temps, qu’ on fait le bon pain. Le temps qui
passe, c’ est peut être l’espoir de la sagesse acquise.
Le bon blé qu’ on mout, c’ est la conviction d’ un pain
d’ antan.
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