Au-delà de lui s’élève la belle forteresse
avec de hauts murs et des gens
il n’y aurait rien sans ce choses
aucun artisan à écriver sur le cœur
ce serait juste lui
dans sa tour d’ivoire
un alchimiste qui fond l’or dans les chaudières de l’esprit et le verser dans les formes d’argile de l’espoir
quelque chose d’abstrait
la beauté du mot brille dans les gens
dans leurs yeux et dans les lumières de la tour Eiffel
la dernière fois le poete il avait perdu son cœur sur Champs-Élysées
il la cherche en sans espoir depuis
à sa place s’entendent les trompettes de Jéricho et les bruits infernaux du murs de pierre de Paris, s’écraser…
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