A toutes les pages tournées et les fins des débuts, aux escarmouches ébauchées du temps où pas d’culot j’avais …
A mes grandes solitudes remerciées tout de même parce que ce sont les seuls moments où l’on reprend soin de soi!
Et ces pleurs pour du rien alors que le pire restait à venir……ce moment où l’infini doit partir pour me laisser meurtrie et tomber dans un trou noir et ne plus vouloir en sortir.
Et puis…..le courage ayant ses cheveux, ses yeux, ses cils et son sourire, mon avenir, ma beauté, ma fille.
Se secouer la poussière d’un deuil impossible à faire et s’habiller des vêtements neufs de la folie de vivre sortir, chanter, rentrer et re pleurer.
Et voir le temps qui passe apportant toujours mieux et des jours roses et tendres à embrasser d’amour, à combler tous les vides au point d’être remplie de joie et de tendresse que “sa mort” m’avait pris.
A toutes pages déchirées qui m’ont amenée là …
Embruns de Poésie
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Comme vous avez raison, passer des pleure aux rire parce qu’on n’a pas le choix faut faire avec, ne rien oublier
Une “escapade” de temps en temps et se retrouver avec soi-même fait beaucoup de bien ! Merci pour ce partage utile et agréable !