Quand les nuages sombres sont partis
Il y avait comme un vertige dans mon esprit
Là où grandissaient confusion et malheur
Se recroquevillaient raison et bonheur
Là où s’agrippaient désespoir et miasmes morbides
Un temps si jeune et aujourd’hui autant de rides
La maladie me ronge
Des nuits sans songe
Une triste vie sans rêve
Il ne me laisse aucune trêve
Le mal se fait plaisir
Il a tué tout désir
J’aimerais une pierre dans son soulier
Pour que la machine infernale soit enrayée
Si une bombe d’amour pouvait s’abattre sur lui
Il y a tant d’années que la chance me fuit
J’ai bu son élixir
Pactisé pour le pire
Le malin au paradis
L’enfer m’est promis
@F Camouin
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