Le cœur de l’Homme est un mystère
En silence devant ses pleurs je l’ai pris dans mes bras
Son désespoir était si fort, j’avais mal pour lui
Je l’ai bercé tel l’enfant qui pleure sa mère
A l’aimer autant je voudrais effacer tout ça
Face à sa douleur moi je me bats montre sa nuit
Le cœur de l’Homme reste toujours un mystère.
Depuis toujours je retrouve tout au fond de lui
Sa force vive, sa fragilité, comme un combat
De tous ses actes, les plus fous il les préfère
Quand l’amour le surprend parfois lui il s’enfuit
Nulle lâcheté, car il ne sait plus, ne sait pas
Le cœur de l’Homme reste toujours un mystère
L’Homme, enfant d’une mère, le reste jusqu’au trépas
Il rêve si grand, toujours pour éviter l’ennui
Il puise sa force dans ce qu’il gagne et ce qu’il perd
Quand il aime il attend tout de cet avenir là
Son bonheur, c’est d’un geste insouciant qu’il le détruit
Le cœur de l’Homme reste toujours un mystère
Régina Augusto Châteauroux
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J’adore c’est un très beau poème, je mets 5 étoiles
Le cœur de l’Homme reste et restera a jamais un mystère et c’est sans nul doute mieux ainsi cordialement Angel