La nouvelle version du cheval de Troie, sortie des écuries depuis un certain temps veut faire croire que les grands bienfaiteurs, nourris de capitalisme jusqu’au bout des ongles, sont de sincères altruistes qui veulent tout partager avec les pauvres à l’échelle mondiale.
C’est ainsi qu’ils chantent à tue-tête que la mondialisation est la solution, que c’est une condition au développement durable, qu’elle est la panacée à tous nos maux, au moment où leurs actes indiquent l’exact contraire… Au fait, que cherche-t-on à mondialiser, la richesse ou la paupérisation ?…
Le cheval disparut
Car on ne l’a pas cru
La jument prend la relève
Presque en tenue d’Ève
Pour son vendeur crieur
C’est elle le bonheur
Il faut absolument
Acquérir la jument
Citant ses qualités
En grande quantité
Il n’y a pas mieux qu’elle
Ah ! Qu’elle est belle
Tout le monde a compris
Dans quel piège on est pris
La mondialisation
Oui, notre destruction !
Avantageant les riches
Qui, toujours pleurnichent
Elle ruine les smicards
Qui comprennent l’écart
Que devient le partage
Promis avec rage
Du vent, rien que du vent
Du couchant, au levant !
Brahim. B
Tellement vrai. Que des miettes pour les gens ordinaires.
Des miettes pour les plus “chanceux“, si j’ose dire ! Merci pour l’agréable visite !