La fureur de vivre
Entraîne-t-elle la mort ?
Faut-il être ivre
Et accabler le sort ?
Ô rage, ô désespoir
Suis-je tenté de crier
Lorsque je vois le soir
Les familles endeuillées
Qu’est devenu Rodrigue
Et avons-nous du cœur
Pour ériger la digue
Mettant fin aux malheurs
Nos routes sont des mouroirs
Tout le monde le sait
Nous avons le devoir
De dire : c’est assez !
Empêchons l’hécatombe
Tordant le cou aux vies
Multipliant les tombes
Sans chance de survie
Des rodéos en ville
Mon Dieu, protégez-nous
De ces automobiles
Conduites par des fous.
Brahim. B le 24/8/2013
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Merci, Marielle, pour l‘agréable visite et pour le commentaire élogieux !
Merci pour ce poème très touchant!