Je suis heureux toujours quand existent le bonheur et les gens heureux
je suis triste et je souffre quand existent la tristesse, le desespoir et les êtres malheureux
Je suis toujours charmé par le charme particulier du nose matins
Je suis submergé, simplement, par l’image écrasante de l’univers
je suis chaque fois étonné de la confusion dans l’œil du cerf
Je suis effrayé par les effrayants affrontements des nuages
Je suis intrigué en continu des intrigues de la propre pensée
Je suis effrayé par les vagues grosses et mousseuses tomber du haut des chutes d’eau
Je suis excité au delà de toute mesure par l’excitation du verts bois, des ressorts clairs et poissons volants
Je souffre pour la souffrance de l’oiseau mort en milieu du chemin
Je suis ému par le poulet qui sort de l’œuf
Je suis impuissant face aux mystères de la vie et face à mon impuissance à les pénétrer
Je suis un prisonnier sans espoir menotté dans les chaînes rouillées du temps
je suis terrifié par les prisons de la vie, et de ses prisons du temps, tout aussi horribles
J’ai peur de dimensions hamletiennes du la vie de l’homme sur la terre
Je ne peux pas supporter passivement face à l’infini infinit, attendant l’arrivéela fin de la route
et tout cela m’arrive simplement parce que je suis
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