qu’est-ce que leur monde peut nous montré
que nous ne pourrions découvrir ?
toute cette haine rencarde le Seitan
enfin a ce que je vois de l’enfer partout
c’est pas la peine de se blesser pour eux
et de ne voir que par leur œillères
Qui habillent nos propres prisons
ouvre ton esprit il existe je le sais
comme tout ce qu’on peut imaginer
nous qui avons fait tant de grandes découvertes
Fruit d’une mémoire des âges et de l’idée
nous sommes ensemble pour le devenir
cet amour universel venu des entrailles de nos mères
Comme des rires de nos pairs et du silence des pierres
Ne me revient des discussions avec mes frères et sœurs
Que l’envie de faire un monde où nous pourrions vivre
Alors je marche le long des avenues de briques grise rouge
Je dévale les rues dans les moindre recoin je cherche
une expression de la lumière qui travaille à la Vie
comme un reporter de l’étrange je sais qu’il existe
Quelque part dans cet océan noir dans ce ciel désert
Comme une fleur qui fleurit à l’ombre des dunes
notre science est celle de l’âme que l’on éduque à percer
Le froid hiver de notre désespoir et il faut y croire
Notre force est esprit et nous sommes des gens durs
Qui veulent trouver cette éternité qui abrège toute les souffrances
Et je m’assoie dans un rectangle d’herbe et tout est orchestré
La valse lente des insectes le bal volant des oiseaux
La respiration profonde de la sève et le parfum des fleurs
La musique dans la tête qui revient comme les accords d’hotel California
Je me sens là accueillit par la beauté du monde et sa légèreté
La fête brille dans le lointain, et j’entends rire les gens
Nous avons vu tant de choses que je pourrais vivre aveugle avec mes souvenirs
Mais la Lumière du présent la chanson de la vie est pleine de mystère
Que je réapprends à ressentir comme ci en moi une porte s’était ouverte
sur des immensités terribles et suprême qui donne sens à l’Homme humble