Oh seigneur ce que j’aime le pardon !
Ce puissant don
Ce beau cordon
Qui purifie tout l’être tout le dedans
Quand le mal est oublié et surgit un précieux uniforme
Qui vêt le cœur dans le fond et dans la forme
Ce cœur bat fort ressentant un bonheur énorme
Respectant plus cette âme ses nobles normes
On dirait une récompense
Sans que cœur la demande ou même qu’il y pense
Sans avoir prémédité l’offense
Cet être fort aimable a voulu offrir à cœur une danse
Faute non voulue cœur l’a bien pardonnée
La grandeur de l’âme a voulu le couronner
Palpitant fort surpris s’est mis à fredonner
Spontané il a vite pris cette félicité donnée
Oh seigneur ce que j’aime toute clémence !
Sa naissance
Sa fragrance
Quand elle est vraie et non une manigance
© Ilef Smaoui – 16/01/2018