Elle lavait les draps, le linge des malades
Que son fils transportait à vélo, certains jours
Du petit hôpital de la grosse bourgade
Où était leur logis, leur maison de toujours
Dans la grande marmite que son garçon posait
Sur sa tête encore frêle pour pouvoir l’emmener
Elle préparait le repas de tous ceux qui disaient
« Dieu, protégez la Dame qui vers nous s’est tournée »
Elle se servait du bois, lavait dans la bassine
Ne se plaignait jamais, jamais ne rechignait
Son four était d’argile, ses mains sa machine
Et c’est dans la cour qu’elle besognait
Se levant la première, se couchant la dernière
Telle est cette héroïne, cette héroïne et demie
Il s’agit de ma mère dont je suis plus que fier
Celle dont la bonté s’étale à l’infini
Brahim.B
Très beau poème et bel hommage pour la maman……Pas seulement héroïne et demi, j’ajoute encore 25, comme on dit chez nous. Amicalement. Slimane
Merci, Slimane pour l’agréable visite et pour le “25”, apprécié à sa juste valeur !
Un bel hommage pour une maman précieuse.
Merci, Françoise ! C’est la moindre des choses : cet hommage, comparé à tout ce qu’elle a enduré pour élever ses enfants, n’est qu’une goutte d’eau dans un océan !
Un beau poème, magnifique hommage ! Merci pour votre partage
Je vous en prie. C’est moi qui vous remercie !
Bel hommage dans un texte cohérent et ingénieux, merci encore pour ce partage.
Je t’en prie, cher ami !
Un bien bel hommage qui reste de saison car il n’y a pas de morte saison pour le cœur quand on a su y semer tant de bonté. Amicalement…
Merci, Christian !
Se levant la première, se couchant la dernière
Telle est cette héroïne, cette héroïne et demie
Il s’agit de ma mère dont je suis plus que fier
Celle dont la bonté s’étale à l’infini…