
Partir, retrouver
Là-bas ces personnes aimées.
Rester, à jamais.
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Partager la publication "“Haïku du départ.” – Odile Stonham"
Bonjour,
Je m'appelle Odile et j'ai soixante-et-un ans. Je vis en Normandie, particulièrement dans le Calvados. Je suis mariée et j'ai deux grands enfants dont l'un m'a donné la joie d'être grand-mère de deux petits bonshommes : Ethan et Alexander.
J'ai commencé à écrire des poèmes à l'âge de seize ans et cela m'a beaucoup plu. Puis, petit à petit, j'ai continué à en faire. Etant sentimentale de nature, cela y a peut-être contribué. je ne sais pas. Mes sujets sont variés. Je les prends comme ils me viennent.
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Bonjour Odile,
Partir,
Repartir,
Sans se départir.
L’on pense à tous ceux,
Trop vite
Partis.
Chacun connaît
ces vives douleurs-là.
Cordialement.
G.L.
On dit et on chante (Noël Colombier) que “partir c’est mourir un peu”, mais s’en aller auprès de Dieu c’est trouver la vie. De même pour ceux qui sont partis avant nous et que nous voulons rejoindre par la pensée et la poésie.
La nostalgie ramène en le présent des beaux souvenirs du passé, et nous fait revivre, en l’ici à chérir, ce que l’on ne peut oublier : nos êtres aimés et tout ce qu’ils aient pu pour nous représenter avec le beau et le noble qui les caractérisaient, car d’eux aussi, l’on se sentait appréciés et aimés.
La grande nouvelle est que nos chères personnes regrettées n’ont pas emporté cet amour qui reste avec nous à jamais. Un amour qu’avec d’autres l’on peut sincèrement partager comme vous savez si bien le faire à travers vos écrits, talents poétiques, et d’autres actions, et en étant Odile.
Que ce fort sentiment de belle nostalgie qui se ressent dans ce beau tercet inspire d’autres envolées poétiques qui toucheront des cœurs, très chère Odile aimée.
LMA.
“Rester, à jamais.“