Fleur gourmande
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Aux fantômes de la banalité quand l’écriture m’éblouit,
Un cri burlesque dans des océans d’amertume enfouit
Où l’horreur vogue sur des visages blêmes qui s’affichent,
Foudroient mon âme solide, sans trêve, sans triche.
Dans mon sommeil, jaillissent, de vives et de brèves
Lady qui m’éveillent où les utopies s’arment de rêves.
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Ma vie, ponctuée de délires brodés, s’enroule
Dans des hasards, aux amulettes me promettant la foule.
Aux portes de la violette frénétique, douceur éternelle,
Aux vents de la glycine, y a pas de quoi, elles m’émerveillent.
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Et une sirène nommée Sophia, étoile d’argent, me guide,
Et mon écriture brille, fleur astucieuse, destin éludant l’acide.
Fleur gourmande, en érudit de l’or de tout son cœur,
Fleur gourmande, en érudit de l’or de tout son cœur.
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Amour, je te donne ma générosité et mon cœur,
Trouvant l’infini des désirs et les meilleurs, sans erreur,
Qu’est ivre d’un karma portant un feu d’ardeur,
Ce que je rêve, ce sont de tes baisers poétiques,
Où les astres et l’immensité écoutent notre esthétique.
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Une chimère éclaire mes pas, d’un astre lumineux,
Mon grimoire filtre le torrent flamboyant du bienheureux.
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Et une sirène nommée Sophia, étoile d’argent, me guide,
Et mon écriture brille, fleur astucieuse, destin éludant l’acide.
Fleur gourmande, en érudit de l’or de tout son cœur,
Fleur gourmande, en érudit de l’or de tout son cœur.
Poème délicieux comme un café gourmand au réveil !