Fleur de lumière – Patrice Rey

Fleur de lumière

Nuit d'insomnie, 

Océan de pensées, 

Éclat de sa magie. 

"Jusqu'à c'que le soleil..." 

"Jusqu'à c'que le soleil..." 

Habille le ciel d’une jolie robe rose, 

Bercer les étoiles qui reposent, 

Puis l’éphémère artiste.

Mais la magie, voile nocturne, opère, 

Pour les âmes assoiffées de vie 



Fleur de lumière,

Fleur de lumière,

Marilyn Monroe, étoile filante,

Partie trop tôt, emportant ses mystères. 

Diamant éblouissant, 



Mille éclats brillants, venin subtil, 

Sentier tortueux, vibrant. 

Ton ciel, art et esprit, 

Et une ombre de Graziano, 

Qui n’a pas porté en lui le doute,

La magie investi l’art des âmes meurtries.

Et toi frère, ta bravoure, 

Qui enflamme ton cœur,

Est-t ’elle toujours un vent rose ? 



La magie a embrouillé le ciel, 

Infiltrant l'art des âmes blessées. 

Et moi, je ne suis plus l'ombre des mots,
Je danse loin des échos faux.

Et il est supposé que l’excellence 

Mente aussi ; nobody is perfect,



Et Marilyn Monroe, étoile fragile, 

Dans l'écrin céleste, 

Fleur de lumière,

Fleur de lumière,

Fleur éphémère,

Partie trop vite, emportant ses secrets



Puis la réalité me happe ; je persiste. 

Et point final, point final.