Les Romains ne t’aimaient pas et tu es de retour
Je ne veux pas croire ce qu’ils pensaient de toi
Très nombreux parmi eux, te voyaient en vautour
Moi, j’ai un autre avis ; je le dis, je le crois
Beaucoup de gens très chers sont nés en février
De beaux souvenirs certes, mais de moins beaux aussi
Février, comprends-tu, je ne peux t’oublier
De durs évènements ont été adoucis
par les gens qui m’entourent, tous ces braves au grand cœur
Des êtres exceptionnels, tous pleins d’humanité
Sont venus alléger ces moments de douleur
Dominés par l’effroi, le doute et l’anxiété
Comprends, tu es aussi le mois des amoureux
Qui s’échangent des mots, des fleurs, des billets doux
Ce langage des cœurs qui fait plus d’un heureux
Tu n’es pas si funeste, février, après tout
Ton vingt-deux, rassembleur, ce jour source d’espoir
Ce jour si merveilleux, ce jour défiant le sort
Par l’image qu’il donne est rentré dans l’histoire
Les Romains, je le pense, avaient sûrement tort
Brahim. B
Les romains étaient des scripts trop flemmards préférant écrire XXX que XXVIII. Tout s’explique par leur vie de bâton de chaise…à porteur. D’où leur aversion pour le mois à XXVIII jours !
Bonjour mon cher ami , le mois de février sera froid et humide je le crains!, mais les amoureux conte à eux ils seront bien heureux dans les bras de leurs Valentine. Une belle fin jolie de journée et une belle soirée mon ami le poète.😘🌹 Isadorable 💖
Avec ta couverture poétique, Isa, tu seras bien au chaud ! Ne crains rien ! Merci pour ta visite toujours agréable et à chaleur bienfaisante !
Bonjour et merci, c’est si chaleureux entre vous et je m’y sens si bien que je resterai !, mais voila je ne viens pas souvent ! mon problème étant mes AVC et de trouver les mots ça peut durée un bon moment. Et je vais me couvrir avec cette couverture si poétique soit-elle et si chaleureuse que tu m’a joliment offerte.
Isa😘
Crois-moi, c’est une couverture magique : je sens que déjà chez toi, ses effets sont bénéfiques ! Portes-toi bien, Isa !
Comprends, tu es aussi le mois des amoureux
Qui s’échangent des mots, des fleurs, des billets doux
Ce langage des cœurs qui fait plus d’un heureux
Tu n’es pas si funeste, février, après tout
Magnifique réplique !