Je me suis perdu à travers cette ville de pensée
à la recherche du Magicien d’Oz dans ses rues droites et étroites,
pavées d’émeraudes,
parmi les hommes d’étain
en armures vertes, brillantes.
À travers des veines il circulait chlorophylle,
sentais que grandissent mes racines
dans les sols,
à chaque intersection de routes
se rencontraient des nombreux épouvantails
sans tête
suspendus par des troncs d’arbres,
tous habilléient de couleurs verts,
lions,
dans les tons de jades
et xandu…
Viens ici,
je t’appelle,
dans cette mer de vert et d’olive,
comme l’émeraude
ou comme la soie du la grenouille,
laquelle me tue.
je me suis blessé les semelles des pieds
allant parmi les restes d’étoiles
et je me noie dans ce sang vert
comme une l’œil d’une vipère
Le sorcier Oz rit
toutes les libellules se trouvent à ses pieds
sans ailes
dans Quad Ring Country
le soleil est tombé du ciel
au milieu de ce spectacle terrifiant…
©Contu Aurel
Un écrit bien profond qui décrit l’errance dans un monde si étrange et si fascinant en même temps, mes amitiés