J’veux juste me baigner dans le soleil clair,
Avec un grand oui, mais il y a des bains de l’enfer.
Où des moments de paix, doux interlude,
Qu’apaisent l'esprit, calment l'inquiétude.
Où mes pensées vers le val de l’Homme qui divague,
Alors rêver, imaginer, c’est un oui égal à cette vague.
Mes ennemis ne veulent pas être comme moi,
Et c’est bien révolu aussi pour moi, par moi,
Mais fantasmer, rêver, c'est dans mes choix.
Simplement, c'est un oui, c'est un réel de la vie
Pour être cosmique et rêver c’est étreindre l’infini.
Puis d’un oh-oh-oh, je tombe, perd le ton,
Aux jobs à sombrer---j’exclus cette solution.
Le sort a voulu que cela soit mon lot,
Adieu pages blanches, désert chaud.
Ce besoin de soleil me renie,
Et de rêver, c'est une norme de ma vie.
Aussi c'est naturel de se sentir oppressé,
Par leur quotidien, par sa dure réalité.
La vie est un chemin de pierres et de ronces,
On cherche le soleil de la paix quand on s’enfonce.
J'insiste, j’m'accroche, même à des rêves fanés,
Mais je cherche des moments de joie, d'idylle, de trêve,
Oui, la solitude n'est plus qu'une épave, j’en crève,
Il y a ces aspirations à l'éclat doué, dopé, doré,
Vous savez, oh oui, vous savez combien elles sont épurées.
Sous le soleil de mai, du sud, le cœur en ivresse,
Avec la tristesse qui toujours se dresse,
Avec la tristesse qui toujours se dresse.
Y a des fugues, des évasions aux armes des rhapsodies,
Chaque aube est un pari, chaque soir un blues de poésie.
De rêver c'est cosmique, l'Appel du Soleil, oh oui !
L'Appel du Soleil, oh oui, c'est une réalité de ma vie
Puis de rêver c'est cosmique, c’est étreindre l’infini.
Étreindre, étreindre l’infini .
Nombre de Vues:
4 vues
Superbe soleil que l’on pourrait déguster en écoutant Jon Anderson chanter : Nous sommes du soleil ! Ici par exemple : https://www.youtube.com/watch?v=-zfpf2stp2E