Est l’espoir sur le seuil – Lucienne Maville-Anku

Un terme n’y a-t-il
Aux jours de nos pleurs
Un terme n’y a-t-il
Aux nuits de nos deuils
 


Est l’espoir sur le seuil
De la porte de nos cœurs
Voués n’est-on au malheur

 

Un terme n’y a-t-il
Aux jours de nos pleurs
Un terme n’y a-t-il
Aux nuits de nos deuils

@Lucienne Maville-Anku, 22 avril 2021, 19 :30

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Lucienne Maville-Anku

Lucienne Maville-Anku (794)

"C'est en écrivant que j'apprends à écrire."
Je suis originaire de la Martinique, une des charmantes petites iles de la Caraïbe, et vis au Royaume-Uni.
J'écris depuis de nombreuses années, et ce sont les autres, dans un premier temps, qui par leurs nombreux encouragements et appréciations a la lecture de mes textes m'ont aidée à prendre conscience que j'avais des talents à valoriser.
Ce désir d'écrire et de mieux écrire qui niche en moi depuis l'âge de 15 ans n'a jamais cessé d'aller croissant. Aussi, j’expérimente que c'est le fer qui aiguise le fer, et que plus j'écris, plus je désire écrire, et apprends de la sorte à écrire en autodidacte, par le soupir, par le désir, comme un feu qui s'attise.
La Poésie elle-même m'enseigne, j'apprends d'elle et découvre plus de sa beauté et sa diversité en lisant et en appréciant ce que d'autres écrivent et expriment, notamment sur cette plateforme, terrain de partage et d'expérimentations où foisonnent tant de talents qui m'émerveillent. C'est une vraie galerie d'arts uniques.
J'écris et développe cet art d'écrire en cultivant ma relation avec la Poésie, 'bon pédagogue’ qui m'instruit et m'éduque, et l'écriture elle-même qui comporte aussi des vertus thérapeutiques contribue à mon développement personnel. Cependant, j'ai souvent désiré participer à des programmes de formation pour parfaire mes talents et la stylistique.
J'ai compilé déjà plusieurs recueils de textes poétiques que je souhaite "dé-confiner" pour les mettre à profit, partant du principe que ce que l'on partage, on le gagne, et ce que l'on garde, l'épargnant à l'excès, on le perd.

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Marie
Invité
Marie
5 juin 2021 20 h 29 min

Reponse dune poète à une poète :

“APRÈS LE TEMPS DES LARMES”- Cavalier Marie-Christine

Les larmes s’écoulent sur nos visages
Rivières de  pleurs aux jours des ombres
Où l’on sent, aux battements de nos coeurs,
L’expression de la douleur

Mais quand se lève la douce brise
Qui rafraîchit l’ardeur de nos émois
Et que vient la pluie douce de la consolation,
Comme un baume sur une plaie,
Nos larmes, avec elle, ruissellent
Et alors disparaissent

Puis, Soleil de grâce, divine lumière
Tu fais luire sur nos visages
L’éclat, la chaleur de ta face
Et les nuages sombres s’effacent.

De larmes, alors, plus de traces,
Nous rayonnons dans la lumière
@Cavalier Marie-Christine, le 05/06/2021