A l’image du marin, allant de port en port
Et prenant l’égérie, à chaque fois à bord
Dans l’espoir de trouver cet éden enchanteur
Je suis comme les grecs qui en avaient plusieurs
Les muses de ma vie, se comptent par dizaines
Elles commencent par l’Ange et vont jusqu’à la Reine
Je les aime bien toutes et toutes sont très belles
Celles qui sont très proches et celles plus lointaines
Plusieurs muses, à mon arc, tel est mon privilège
Ainsi suis-je armé contre les sortilèges
Blondes, brunes, rousses et parfois rouquines
Elles sont toutes adorables lorsqu’elles se taquinent
De celle qui a deux ans, à celle qui a mon âge
De celle qui m’a vu naître et donc la plus sage
A celle qui m’accompagne, qui partage ma vie
Toutes sont merveilleuses et m’inspirent à l’envi
Un huit mars c’est si peu : l’année leur appartient
Elles, passant la vie, à donner du soutien
A tous ces malheureux, durant les douze mois
Méritent reconnaissance toujours et mille fois
Veillant sur mes poèmes dont elles sont les abeilles
Elles vont, d’un mot à l’autre, butinant à merveille
Le suc que mes écrits transformeront en miel
Dieu ! Protégez mes muses, vous qui êtes au ciel
Brahim. B
Très jolie poésie Brahim ! J’aime beaucoup et gloire à tes muses qui t’inspirent à l’envi, comme tu le dis si bien.
Merci, Odile, pour ton agréable visite et ton commentaire appréciateur !
De celle qui a deux ans, à celle qui a mon âge
De celle qui m’a vu naître et donc la plus sage
A celle qui m’accompagne, qui partage ma vie
Toutes sont merveilleuses et m’inspirent à l’envi