Dichotomies assumées…
Au bout du bout du compte
Je préfère, pour moi et pour la Terre
La réflexion
A l’ostentation
La tolérance
A la croyance
Le jour
A la nuit
Le partage entre tous
A la richesse de quelques-uns
L’amitié, plus ouverte, qui rapproche
A l’amour d’un prochain, plus exclusif, qui isole
Le naturel toujours imprégné du sceau de l’éternel
Au toujours plus corrosif et agressif artificiel
La philosophie
A la cosmologie
Le rond
Au carré
L’harmonie de la danse
A l’excitation de la transe
Le chant venu de la joie et de la bonne humeur
Au cri craché par la douleur
L’art ancien
Au furtif art contemporain
La musique archaïque
A la techno-musique
L’apparente torpeur de la sagesse
A l’ivresse de la vitesse qui mène à la détresse
Et même les équilibres qu’ont proposés les temps passés
Aux incertitudes individuelles et collectives issues d’inopportunes technologies
Faut-il encore te préciser
Préférer le temps calme à la nature en furie
La Paix
A l’imbécilité de toutes les guerres
Face à la nouvelle fragilité de la Terre
Et de l’humanité toute entière
Clairement, je compte sur toi pour l’urgence de la nécessité de sérénité largement diffuser
Mon parent, mon ami, mon jeune frère… et sans davantage tarder !
« Ainsi, je m’en va ! »
Photo : Victor Guillet