Je suis l’ombre d’un rêve qui s’effondre
À la publication des remords je m’tire à la mer
Je suis englouti dans l’indifférence glaciale
Dans l’abysse des drames inachevés,
Il a des rêves inavoués, allégories inspirées,
Quand vos yeux peignent la lune en or
Et les Cosmics Dreams ont poétisé
Je chante mon désespoir,
Je chante mon histoire, le fun évaporé,
Dans l’abysse des drames inachevés,
De mon amour jadis si vibrant,
Je suis le silence là où vibrent les cœurs vides.
Poète sans sa muse,
Écrivain sans sa Licorne,
Sont perdus dans le cosmos.
Cette année ne brille pas pour moi,
Je déambule avec mes espoirs calcinés.
Et tout ce que je suis,
Et tout ce que j’étais,
Et tout ce que je serai,
Seront un reflet clean au fond de mes yeux,
Et le souvenir d’une affinité qui cramait,
Et le souvenir d’une odyssée qui m’irradiait
Les Cosmics Dreams me l’ont gratifié.
Je chante un je-n’sais-quoi qui féconde la lumière,
Chaque jour un bout d’ciel à mon intrigue, au fun groggy,
Dans l’abysse brut défait de sa subtilité,
Où j’échoue en héros solitaire
Je reste l’homme nu face au carnassier,
Je suis le silence qui résonne dans les cœurs lourds,
Je suis l’oiseau qui siffle des rêves éclairés
Et les Cosmics Dreams se sont décuplés,
Les Cosmics Dreams m’ont poétisé,
Ils ont ce mirage où j’ai le love léger .