Je n’aspire à rien qui puisse déranger le monde
Sinon au silence dans ma tête
Écouter trembler les notes de ma musique électronique
Sur le clavier d’ordinateur
En faisant braire le Café qui rumine dans son jus
Rôle de chacun, je fais couler l’encre et je fume des herbes sauvages
Je brûle des graines de sable
Pour faire germer les ondines mystiques
Comme des fleurs dans l’eau blonde de lumière
Je rêve d’immensité assis devant mon café
Face à la page qui se remplit d’idées nouvelles
Et je m’ennuie de la vie déjà – déjouer le temps
La vie reviendra je vous embrasse depuis l’infini
Une certitude que l’amour à un sens commun
Comme le rire d’un gosse qui nous regarde vieillir.
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Manne.
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