Ce matin, je te parlais tout bas, de façon solennelle
Alors que dans mon cœur chantait un hymne plus doux
Je lisais tout au fond de tes prunelles,
Ces instants si merveilleux, qui n’appartiennent qu’à nous.
Devant cette nature, si belle et si pure
J’avais soudain envie de crier au ciel,
Tout cet amour qui me consume ; cette brûlure
Qui se ravive sous le vent, le soleil.
Ce matin dans tes bras, je te parlais tout bas
Pour ne pas rompre le charme, d’être là près de toi,
Pouvoir sentir ton souffle chaud dans mon cou
La douceur de ta main sur mon genou.
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Ce poème est beau
Ce poème est fin
Ce poème est doux
Ce poème est un chant
Ce poème est un baume
Tout simplement.
Gyslaine, votre texte est magnifique.
Les tendres instants du matins!
Comme une renaissance!
Adrien.
Magnifique rencontre des deux natures végétales et humaines !