Ballade en Lexovie
Tout près,dans le petit parc solitaire,
À l’ombre d’un escalier de pierre,
Le jardin de l’évêché fier et magistral
Se cache au pied de notre cathédrale.
Dressée de voûtes en son chœur
L’ombre demeure aux voyageurs,
Aux évêques et autres alchimistes,
À la table de tous ces aubergistes .
Au lait de vache l’odeur du caramel,
Sur les étales ,délicatement se mêle
À la rosée que le matin accompagne
De son manteau de verte campagne.
Aux charmes d’antan de ses ruelles
Se mélangent ,aux colombages de pierre,
Les empreintes d’une Rome maternelle
Posée aux berges de son unique rivière.
L’ancienne et noble citadelle,
De ses plus vaillantes prunelles,
Au lit des ruines bénédictines,
Berce notre néo-byzantine.
Au rendez vous des carmélites
Les vitraux gorgés de sang
Incendient d’eau bénite
Tous ceux rentrent dans le rang
TPV
Bonjour,
Après plusieurs lectures de votre poème mon avis est qu’il est bien écrit mais je le trouve plat.
En poésie lorsque l’on fait découvrir un lieu, le lecteur doit ressentir l’envie de le voir de ses yeux.
Ici, ça ne s’est pas passé pour moi.
:-(
Revoyez votre dernier vers, y’a un truc qui cloche.
Tous ceux ( qui ) rentrent dans le rang ???
Bonne journée à vous.