Liberté tu va tous nous tué
Mais Liberté hein – qui tu es ?
Dans le carnaval des c*… des nouilles
Et des chattes brûlantes, leur trouille
De vivre aux trousses
Qu’ils aillent se faire foutre tous
Dans ce siècle de la France mortifiée
Où les idées aux panthéons sont confiées
A des momies d’une pyramidale architecture
Merde à l’Amérique, Merde à Guatanamo – sans Futur
Je veux vivre dans une maison qui roule
Et rouler dans la foule avec l’air cool
Leurs bals de la servitude m’ennuie
J’ai besoin d’espace de temps je regarde la nuit
J’écris la nuit, je suis la Lune des loups et des fous
Qu’est-ce que je ferrai de ma vie dans un trou
Les oiseaux sont moqueurs et je me moque de la Vie
Parce que ça l’énerve et l’amuse aussi, la Vie est sagesse
Tempérance sauf qu’en j’entre en scène tous stressent
Ne savant pas comment va finir leur petites fesses
Je n’ai jamais été à la Messe sinon en maitre de cérémonie
Microphone en main je suis plus de la gastronomie
Que de l’hégémonie des forts, honni par ceux qui contrôle
J’hénnie cheval fougueux, je suis une sorte de génie c’est mon rôle
Elle dit que je suis un peu bizarre et plutôt drôle
Elle éventre sa douleur, la vision pleine de couleur hématome
Elle et moi on s’amuse comme des mômes de nos pierres jetées au Dôme
J’écrirai en gros mon nom sur la devanture d’un supermarché
Pour se souvenir que la Liberté c’est d’abord fait pour marcher
Et découvrir toutes les cachettes secrètes du jeu de la Vie
Je fais j’aime des choses qui me font mal me mettent à l’épreuve par envie
Et j’ai du mal à aimer des gens qui ne vois que cette image là
Je suis un dessein travailler dans l’ombre comme un dessin là.
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