Amour, accepte ce présent,
Ce soupir que mon âme expire.
En ma main, je t’offre l’empire
Sur mon destin et sur mon sang.
Longtemps, j’ai hanté les versants,
Les bois et les pays apyres.
Amour, accepte ce présent.
Ce soupir que mon âme expire.
Aujourd’hui, je me tiens céans,
Devant ta beauté dextrogyre,
Pour mettre fin à ce martyre
qui ronge le coeur des absents.
Amour, accepte ce présent.
Nombre de Vues:
54 vues
Je vous remercie pour vos commentaires. Au plaisir de vous lire !
Merci pour ce partage fleuri ! Celle à qui ce bouquet est destiné doit bien le mériter !
Un petit côté médiéval qui est de plus plaisants dans ce texte sans prétention mais fort joliment tourné, comme le bon artisan aime à peaufiner de la belle ouvrage. Merci Guillaume.