Il parlait là d’une maison, Un toit pour oublier les ponts ; Il parlait aussi d’un jardin, Quelques fruits pour calmer sa faim. Il racontait le p’tit village Où tous les enfants de son âge Jouaient ensemble à des jeux Que les dieux ont jetés au feu. Il se berçait de l’arc en ciel Qui en quelques traits renaissait Quand un instant vite passé L’aurore avait un goût de miel. Il dessinait sur le béton La vieille femme aux cheveux longs Qu’il aurait sans doute épousée Si le temps savait reculer. Il a laissé sur les traverses De ce pont qui nous abritait Les souvenirs et la détresse Qui l’ont poussé à s’en aller.
Oh Dominique s’il fait beau Dans ton nouvel exil là haut, D’hirondelles et d’arcs en ciel, Dessines pour moi dans le ciel Tous les jardins, tous les villages, Toutes les femmes aux cheveux longs Que cachaient alors les nuages Quand ensemble nous les cherchions. Oh Dominique si là haut Les arbres sont gorgés de fruits, Si le soleil est seul drapeau, Dessines pour moi aujourd’hui Les aurores qui ici bas Pourraient encor’ guider mes pas. Oh Dominique tout là haut, Est-ce toi qui parles de nous ; Oh Dominique est ce un sanglot, Ou bien un vent un peu plus fou ; Oh Dominique est ce de l’eau, Ou bien des larmes sur mes joues ?…
Je revis dans mes rêves tes caresses attentionnées. Je voudrais qu’elles me soient réservées. À jamais ! Qu’aucun autre homme ne puisse en profiter.
Faisant l’Amour, enlacés. Tes courbes parfaites j’ai caressé. Dans nos étreintes, ton corps nu j’ai serré. Il avait le goût salé de tes larmes perlées. Je frissonnais. Écoutant les mots d’Amour que tu chuchotais.
Je me souviens. Ton parfum au jasmin. La douceur de ta peau sous mes mains. Remontant de ton ventre à tes seins.
Oh ! Salma ! Viens à moi !
Pourquoi ne peux-tu m’aimer librement. Notre Amour n’est ni catholique, ni musulman. Restons naïfs comme des enfants. Ni la loi, ni la famille ni les Dieux. Ne remplaceront ce regard dans tes yeux.
Nous sommes libres et Dieu le sait ! Libres d’aimer et d’être aimés.
Ne m’en veux pas pour ce que je t’écris là. Notre Amour te rend heureuse. Je te sais croyante et pieuse. Je t’aime aussi pour cette naïveté-là. Mais je te sais aussi amoureuse.
L’homme a tout inventé. Pour mieux nous interdire. Les choses qu’il ne peut assumer. Salma ! Je veux te dire :
Laisse toi aller et aimons-nous librement. Aimons-nous musulmans. Aimons-nous catholiques. Aimons-nous simplement. Notre Amour est unique. Notre Amour n’a qu’un Dieu. Celui qui nous rend heureux.
Tous les humains sont différents De races de cultures ou de religions Quoique nés tous d’une même matrice Et que depuis la nuit des temps Du Cro-Magnon jusqu’au Sapiens Furent érigés de superbes monuments Et dont la plupart ne sont que vestiges Humains s’entretuant pour diverses raisons Malheur malheur à nous races humaines Qui avions été trompés au cours des siècles L’homme ingrat n’a tiré aucun profit De sa semence il récolta un fruit vermoulu Que vous soyez Rois ou Lambda Vos vaines richesses accaparées Ne vous accompagneront pas dans l’au-delà Lorsque vous passeriez de vie à trépas Le rêve du poète n’est que chimère Il me suffit d’être là parmi les nôtres Et de nous battre pour un nouveau monde Et que peut-être bannissant nos orgueils En nous armons d’un savoir implacable Nous qui dans le reflet des miroirs Regardons nos images colorées Unissant un beau matin nos efforts En nous soulevons à l’orée du jour Pour changer le destin du monde Les beaux jours sont à pour sûr à venir Sachant que la vie n’est pas une plaisanterie Qu’il faut la prendre au sérieux Que tu sois adossé au mur les poings liés Ou dans un laboratoire en chemise blanche Tu mourras pour que vivent les hommes Et qu’étant septuagénaire tu planteras des arbres Non pas pour qu’ils resteront à tes enfants Mais parce que la vie pèsera plus lourd dans la balance Vivre comme un arbre seul et libre Vivre en frères comme les arbres d’une forêt Ce rêve est le notre
Toi qui vis ici, lis la bienveillance. Puisque tu es né de tes origines, Tu es accepté, Tu es rejeté. Les dés sont-ils jetés ? Les clans du passé ne sont pas en ruine, Tu vis dans le sens de la différence.
Toi qui vis ici, perçois la souffrance. Puisque tu es là dans ton apparence, Trop gros tu emploies, Trop petit tu crois. Ce physique est-ce toi ? Et dans tous les cas, c’est l’appartenance, Tu vis dans le sens de la différence.
Toi qui vis ici, enraies l’insouciance. Puisque cet enfant avait des parents, Soit ils sont présents, Soit ils sont absents. Sont-ils bien cohérents ? L’esprit étouffant ou bien hilarant, Tu vis dans le sens de la différence.
Toi qui vis ici, sens donc la fragrance. Puisque tu connais ce que tu peux faire, L’aveugle entendra, Le sourd te verra. Quel sens tu donneras ? Si tu as du nez, ce sont tes affaires, Tu vis dans le sens de la différence.
Toi qui vis ici, fais tes préférences. Puisque tu aimes dans tes propres choix, Tu peux apprécier, Tu peux détester, Peux-tu le reprocher ? Ce que tu sèmes, on te le renvoie, Tu vis dans le sens de la différence.
Toi qui vis ici, prends alors conscience. Puisque tu penses dans un monde en normes, Dans l’insuffisance Ou sur-efficience. Es-tu en divergence ? Tes compétences complètent ta forme, Tu vis dans le sens de la différence.
Toi qui vis ici, quelles sont tes chances ? Puisque la partie commence en un lieu, La paix ou la guerre, Parler ou se taire. De quoi ta vie a l’air ? C’est bien de ta vie que l’on est soucieux, Tu vis dans le sens de la différence.
Toi qui vis ici, sois en résonance. Puisque la nature a fait la richesse, Toujours en nuance, Construite en alliance. Prends-en tu connaissance ? L’espoir d’un futur où rien ne rabaisse, Ton existence, c’est ta différence.
Tu n’aimes pas abuser des mots pour témoigner. J’aime me laisser bercer par le goût de leur son. Jouer. Tu préfères les illustrations intimes feutrées en images. Je penche pour l’écriture furtive au risque de cafouillages.
Tu es une animale sauvage discrète et secrète. Je suis un animal solitaire réservé et… secret. Tentée de me dire ce qui te poussait à l’être. Prête. Je renonce à le savoir afin de préserver ton intimité.
Aveux de maladresses. Trace d’ambivalence. Intuitions affûtées. Peu de mots suffisent et quelques clichés les estompent. Sur le fil. Nos échanges distants, à des kilomètres des contacts subtils Occasionnent des temps d’incompréhension vite dissipés.
Ces mélanges vibratoires révéleront entre l’image et le verbe Une histoire en train de s’écrire de la rencontre de deux artistes. Sensibles, attentionnés et généreux sur ce chemin superbe. Respect de nos différences et ascension de cet alliage évolutionniste.
La différence, mais quel grand bonheur ! Pour le monde entier, pour ses bâtisseurs C’est le vent du sud, c’est le vent du nord C’est la rivière en crue, c’est l’eau qui dort
Pour la nuit et le jour, elle est magicienne Pour la vie et la mort elle est souveraine Elle est l’année avec ses quatre saisons Elle est une reine dans le cycle du temps
Elle est l’hiver, le printemps, elle est l’été Les couleurs de la nature toute en beauté Un jardin d’automne et sa variété de fruits La différence est aubaine, à toi, à moi, à lui
Chantons notre bonheur d’être différents Nous autres, chrétiens, juifs et musulmans Nous , bouddhistes, athées et non-croyants Nous autres, philosophes, poètes et savants
Prônons le dialogue des cultures et de religions Bâtissons un monde en couleur en noir et blanc Sur toute la terre entière et tous les continents La pensée humaine et son bel épanouissement
Les cascades de fraternité et leurs tintement La différence, l’ arc- en ciel, le soleil puissant Elle est la mer, elle est dans le fond des océans La différence, c’est ouvrir tes deux bras grand
À tes voisins, à tes frères même venus de loin C’est hier, c’est aujourd’hui, c’est aussi demain Ouvre bien tes bras, à ton tour, ouvre ton jardin En bâtisseur de la paix, en artiste, en magicien
Un bonheur sera notre vie, une joie immense Debout, semons à tout vent notre différence Pour un beau monde, creuset de la tolérance Le vivre- ensemble reste notre unique chance.
Tu es bleu, blanc, jaune ou noir Tu es métisse, créole ou nègre Tout le monde se voit au même miroir Et il se voit digne et intègre
Les noirs renflouaient les fins négriers De l’Afrique aux fins fonds des Amériques ! A Sparte, les Ilotes n’étaient-ils pas injuriés ? De nos jours, des âmes en sont amnésiques !
Des sévices dans la péninsule arabique Contre des minorités sans défense Des « Bidounes » toujours colériques Subsistant de peur et d’indigence !
Même au sein des peuples « civilisés » Des pays des Lumières, si vantards ! L’autre être humain est si martyrisé Parce que non conforme au standard !
Nombreux ont péris à cause de leur peau Aztèques, Incas et Peaux-Rouges A l’époque, on se foutait des drapeaux N’avaient-ils pas le même sang bien rouge ?
Dans l’air bleu de Paris, je rêve m’envoler Plus haut, sans ailes, avec des oiseaux jolis J’éteindrai mes feux et je cesserai mes pleurs, J’embrasserai les nuées que mon front effleure. Et quand je survolerai des immenses plaines, J’atterrirai sur le Louvre, au bord de la Seine
Je visiterai le Panthéon des Génies : Sages philanthropes, chasseurs de tyrannie Frères de Voltaire, les amis de Danton Héritiers d’Hugo et les rêveurs des beaux temps
Je chanterai en flânant dans la géante Tour Les chants de Brel, Sardou et du vieil Aznavour Et je tâcherai de tisser un drapeau d’amour En faveur de Celle qui me hante le cœur !
Berçant espoir me retient : Vivre ensemble, musulmans, juifs et chrétiens ; l’univers à Dieu revient ; équitablement, on répartit ses biens ; blancs ou noirs, admettre la différence est obligeant devoir ; de la fontaine d’Amour, de tolérance, tous on boit ; à l’animosité du terrorisme, jamais on est proie ; du chant de l’estime d’autrui on compose refrain ; sur la partition de l’hymne humain, jouent les musiciens : PAIX SHALOM ASSALAM.
Frères sur terre, rendons hommage à toutes les âmes, exilées par maudites armes. Incarnons des anges. Richesse est notre différence , secret divin de notre existence.
Je suis blanc tu es noir, un moi qui renie l’autre Je suis homme tu es femme, il et elle, la différence Je suis jeune tu es vieux, credo d’intolérance Je suis pour toi l’impur et toi tu es l’apôtre
Ce sont nos voies qui souvent à nos torts divergent Là où je vois le mat toi tu vois la brillance Quand j’épouse l’humilité, tu oses l’outrecuidance Quand je prends le large, tu restes sur la berge.
Pourquoi nous regarder en chiens de faïence ? Cherchons à transcender nos humaines dissemblances Pourquoi avons nous dressé tant de remparts?
S’ouvrir à l’autre partager l’espérance Écrire ensemble une nouvelle romance Reconnaître son prochain, faire fondre ce qui sépare.
Quatre saisons font l’année. A chacune sa couleur, son humeur et son décors. Elles se suivent, se parlent, se touchent animées Par leurs parfums singuliers subtils et si forts. La vie est faite d’hommes, de femmes et de destinées. A chacune ses douleurs, ses raisons et ses torts. Des hommes et des femmes conçus pour s’aimer En unissant leurs âmes et leurs corps.
Alors, pourquoi tant de fleurs fanées, Et de jardins inarrosés , stériles et morts, Qui déshumanisent la vie pour l’endeuiller, Et la martyrisent à chaque route qu’elle arbore, Telle une damnée, Elle qui était une rivière d’or, Qui jouissait de sa beauté innée, Entourée par son sable chaud que j’adore ?
Alors, moi je suis triste et peinée De voir tous ces humains sombrer dans le désaccord, Sous tout ce glas qui vient sonner, Sur tous les ports, Partout dans ce bas monde ruiné, Par tant de mépris et de mauvais sorts. Et, je veux saisir mon amour de la vie pour le donner, Et prier pour un nouvel envol, un nouvel essor.
Tous les hommes naissent égaux. Qu’ils soient blancs, noirs, grands ou petits, Ils ont au fond d’eux quelque chose de beau. Qu’ils soient riches, pauvres, d’ailleurs ou d’ici, Ils ont le pouvoir de rebondir des maux, Pour que chacun ait le droit à la vie. Pour que cette vie connaisse le renouveau, Sans ses détresses et ses cris.
Sitôt, qu’ils pensaient qu’ils étaient supérieurs, ils se sont targués devant l’humanité , d’être les meilleurs. jugeant sa couleur de peau différente et contraire, ils ont dit: “Elle nous est malsaine et étrangère.” ils voulaient un monde peuplé d’êtres identiques, se transformant aux yeux du monde, en êtres diaboliques. leurs regards envers elle, emplis de fiel dévoilait des cœurs cruels, chargés de haine. Ils fuyaient, s’en allaient devant ce corps frêle, craignant d’attraper niaisement,une maladie naturelle. qui les transformerait comme elle, en hommes de couleurs. le cœur brisé les yeux en larmes, ils venaient à cet instant de blesser toute son âme. Elle sentait la passion s’éteindre et l’amour s’envoler. ses sentiments se dérobaient et craignaient de mourir, alors, elle s’enfuit en courant, dans une peur en délire. elle voulait leur crier: Tous les hommes naissent égaux, tous les hommes sont frères, quelque soit leur couleur de peau. Elle pose sa tête et marche devant eux, sans les voir, triste et seule, noyée dans un gouffre de désespoir. Elle s’arrête un instant et dit à son cœur: -“Que faire à présent, alors que tous mes rêves se sont envolés? le rêve de vivre en liberté, d’aimer à volonté, de jouir de la beauté. de dormir sur une épaule feutrée…que faire? sinon me défaire, me taire. face à la bêtise humaine, qui m’a mise plus bas que terre. hélas! je trépide dans la désillusion, et mon âme est en perdition. Mon souffle sème le trouble, sur l’oreille qu’il atteint le froid est dans ma voix, l’orage dans mon sein. Au lieu de m’accepter ,voilà qu’ils m’évitent tous et quand je vais vers eux, ils m’ignorent, me repoussent. “O ciel ! que faire devant tant de cruauté?” Désenchantée,
elle qui rêvait d’être aimée, choyée et adulée la voici , chahutée, chassée et huée. Mais! alors que dans son chagrin, la déception est reine, petit à petit, s’extirpait cette haine. Elle avance sereine sur une route lointaine, quand tout à coup, elle croit entendre une voix humaine, malgré sa rancœur et son espérance vaine, elle prêtait une oreille attentive , à cette plainte hautaine. cette voix dégageait un attrait et une douceur certaine . sa peau est caressée d’une main harmonieuse. et pour la première fois, elle était si heureuse. Le souffle chaud, d’une voix amicale, lui susurrait à l’oreille, qu’elle était belle et joviale. jamais, elle n’avait connu une telle tendresse, celle qu’on appelle amitié et qui ,dit-on vous caresse. Elle laisse donc cette inspiration la consoler, la bercer de son charme et l’apaiser. ceux qui l’avaient agressée, ont vite fait de s’en aller, constatant qu’un ami tolérant, venait la ressuscitée, à la vie et à l’amour, il venait l’inviter. A cet instant, sa détresse s’évapore et son être s’apaise, lorsque la main dans la main, tout deux ils criaient: “Il n’y a qu’une loi, c’est la loi de l’amour, peu importe l’apparence, c’est l’esprit qui l’emporte.
Je suis ta différence Et ton équivalence. Perdus dans les sentiers, Bien loin de la vallée Toi et moi chercherons L’amour et le pardon. Tu es ma différence Et mon indépendance. Sur les chemins perdus Loin ,très loin dans les nues Mon âme abandonnée A trouvé le chemin, Le pourquoi, le demain De toute différence Qui cherche sans nuances Le tien, le mien, le nous. Oh douce complétude Des amants éperdus Qui recherchent en vain, L’image qui soudain S’éloigne du miroir Ou il faisait si noir. Tu es ma différence Et mon indifférence. Je suis partie là-bas
Une évidence Nous sommes tous uniques L’un est doué pour la poésie L’autre c’est pour les mathématiques Vous me direz c’est moins poétique Mais tellement plus pratique
Fragile, pleurant, hurlant ou serrant les dents continuant d’avancer avec ses douleurs Ceux qui luttent en silence Se disant bientôt la délivrance Attendant ce sommeil réparateur
Des bruts, des tendres, des assassins Des surdoués, les autistes exclus de notre monde et se dire c’est peut-être une chance De ne pas comprendre De ne pas vouloir participer à ce monde immonde
Les intellos, les bobos, les pas beaux et se dire pour flatter son ego finalement je suis sur le même bateau et l’un vaut bien l’autre enfin peut-être
De toi, mon autre, je ne me sens jamais loin, Même si on ne vit pas sur un même terrain, Et même si nos peaux sont différentes de teint, Ton cœur par son amour s’installe dans le mien. Nos âmes sont en fusion par cet amour divin Qui embellit jour après jour notre destin. S’effacent les différences quand s’enlacent nos mains. Autre et autrui sont trop souvent des mots malins Issus perfidement d’un racisme hautain. Ce monde de ce lien sacré est le témoin : Vie où mon esprit dans tes veines est pèlerin, Vie où tu ensemences mon coffre diamantin ! Vie où l’humanité serait sans torts vilains ! Sans tous ces préjugés pourvoyeurs de chagrin…
Comme un joyeux rossignol D’une voix en Do Ré Mi fa Sol Comme une fleur de tournesol Entourée par une douce auréole Elle s’assoit souvent seul sur le quai Mon dieu comme elle sait se démarquer Et quand elle danse le soir Elle chasse la peur, elle chasse le noir De ses perfections illusoires Chimérique, comme fugitif un bonsoir Elle déshabille tout pouvoir En un seul regard Unique, différente Des fois sérieuse, des fois marrante, Toujours radieuse, toujours charmante Elle qui adore intriguer Jamais je ne pourrai me fatiguer De lire entre ses lignes De déchiffrer ses signes D’étudier ses mines Sa fragilité dauphine Ses pensées fines Que le temps raffine Derrière sa beauté divine Que tout le monde devine Et devant qui, ils s’inclinent Mais ils critiquent son attitude Pourquoi choisir la solitude ? Ils disent qu’elle est trop stricte Qu’elle se prend par une élite Elle se croit supérieure aux autres Pourquoi ferme-elle comme ça ses portes ? Elle est vraiment insouciante Comment peut-elle demeurer souriante ? Quel est le secret de son air Zen ? Est-elle imperméable à la peine ? Quel est le secret de cette prude ? Qui de sa fragilité bat le rude. Mais moi je la vois autrement Je l’aime si fort, passionnément A mes yeux elle demeure charmante Je la nomme la fille aux menottes Impressionnante, Calme, apaisante, Ravissante, fascinante… Je ne sais plus quoi dire Je n’ai plus de mots pour la décrire Prodigieuse, féerique Lumineuse, énigmatique Harmonieuse….elle est magique Ses yeux mélancoliques Racontent milles et une histoire De la tristesse et de l’espoir De la faiblesse et du pouvoir Irrationnelles et tellement rares Toutes les choses que l’on peut voir Dans son fou, glorieux regard Seule face à son destin On dirait qu’elle attend quelqu’un Ça peut être moi ; Ça peut être toi, Je la vois attendre avec foi, L’arrivée d’un cœur courtois. Ah mon dieu qu’elle est charmante, Cette fille aux menottes. La fée différente.
Je pleure par écrit Mes larmes s’étant taries Il n’y a plus personne pour me consoler Et c’est toi que je désire ma bien-aimée
Au début il fallait avant tout dormir Malgré le fracas de la nouvelle Un tel diagnostic est reçu comme un tsunami Il balaie tout Ne laissant que des questions sans réponses
Comment faire, quand on t’annonce que tu vas mourir Tu t’accroches, te sens comme une ” bébelle” ( 1) Les nuits furent courtes, agitée , je vous le dis Sauf pour le travail direz-vous Ou on disait: faut que tu te défonces
Et la famille qui pleure sans discourir Tu espères une erreur ; pas toi ma belle J’aurais dû demeurer avec toi ma chérie Mais tes clients, période importante, tes rendez-vous ! Tel manque d’humanité , je dénonce !
Tes plans de retraite, désolé ce n’est plus l’avenir T’es accroché au présent, le seul réel Toutes ces minutes manquées, aurait dû être avec toi, c’est ainsi Trop tard t’es partie, je vais devenir fou Profit,argent, faut-il que je renonce ?
Je suis perdu, confus, sans mot dire Que sera demain, vide, c’est irréel Avec ta maladie, vivre une minute à la fois aurait suffit Et eux, planifie ton retour, malgré tout ! Avant que trop tard, tu t’enfonces
Quelque fois, je me dis aussi bien en finir Ne plus me questionner,faire la paix, revenir avec elle L’éternité pour être avec toi mon amie Déjoue les, fait leur le coup Qu’il n’aie que des questions ce bon vieux Alphonse !
D’autres fois, stupide de vouloir prédire Quel sens ma vie prendra-t-elle Si 93 jours t’as enlevée la vie En quoi les surprendrez-vous Avec leurs slogans, leurs annonces
Ici gît ma bien-aimée Qui jamais absente au travail n’a été Bienveillante,intense,dévouée Et qui d’un simple merci , bravo, lâche pas , n’a jamais été exprimé !
Tu es une fille et je suis un garçon. Si tu n’existais pas, ma vie n’aurait pas de sens.
Tu es handicapée et je suis valide, pourtant tu cries ton amour de la vie.
Tu es une étrangère pour moi, je suis un étranger pour toi. Chacun est un étranger pour l’autre, même dans son propre pays.
Tu es riche, je suis pauvre, elle est misérable. Mais tout pourrait changer. Nous valons plus que notre argent.
Tu es plus intelligente et cultivée que moi, quand je t’écoute mon coeur s’ouvre.
Nous n’avons pas la même religion, Nous ne votons pas pareil. Mais nos discussions élèvent nos âmes.
Non, le monde n’est pas une armée de clones. Nous ne nous ressemblons pas, c’est une chance. Nous n’avons pas vocation à nous faire la guerre. La vie c’est la diversité.
Je suis cet Homme Je suis différent par ma maladie Je suis cette femme Je suis différente par mon obésité Je suis cet enfant Je suis sur Un fauteuil roulant Je suis dans la rue Des regards fixés sur moi Je suis montré du doigt Je sens que j ai pas le droit De vivre comme toi Je suis différent Accepte-Moi Cette différence Est la cause de ma souffrance C’est un poids sur ma conscience Alors n’en rajoute pas !
Cette fin de nuit, les chairs un peu meurtries, Tu pousses enfin ton premier cri. Péniblement, ta mère vient de te donner la vie. Inscrivez « Pierre » a-t-elle faiblement murmuré Tout en t’ignorant comme si tu étais un étranger. Elle te laisse, seul, dans ton berceau, t’époumoner.
Petit être innocent, en un instant tu deviens différent. A peine expulsé, te voilà sevré, sans parents. Jeté à l’abandon qui t’ouvre ses bras ferrés, Tu es, enfant de personne, condamné A porté l’anonymisation de ton identité Tout en étant l’enfant secret d’une mère discréditée.
T’abandonner, elle n’a pas d’autre choix. Elle sait que tu seras un enfant en proie Alors qu’il existe des enfants rois. Chaque jour, elle souffrira, en silence Du vide retentissant des cris de ta naissance. Jamais elle ne pourra faire le deuil de ton absence.
Le temps véhicule le malheur et la chance. Aujourd’hui, à cinq ans, tu vis une belle enfance. Tes parents adoptifs fortifient ton droit d’exister. Si petit, tu prends conscience de cette réalité. Patiemment, ils pansent ta blessure primitive, Ainsi, ton passé douloureux part à la dérive.
Va petit Pierre, va pédale avec ardeur, La vie est un combat intérieur. Avance, développe ta force personnelle, Un jour, tu voleras de tes propres ailes. Tu partiras, en emportant ton enfance douceur, A la recherche de cette femme sans marqueur, Qui, une cruciale fin de nuit, dans la douleur, T’a planté une écharde dans le cœur.
Toi, enfant de quelque part regarde admire affronte des mondes de différences dans ton monde… Elles l’embellissent, elles l’enrichissent ou l’appauvrissent car tout instant vécu est différent du suivant, car chaque seconde vécue a une valeur unique, miracles de la nature qui engendrant la vie s’amuse à les créer… Ce jeu infini permet à la vie de couler sur un lit composé de milliers de différences… Certaines sont des rayons de soleil, d’autres des enfers… Ensemble elles font un tout, merveilleuse diversité tuant la monotonie, elles jonchent les sentiers de cette traversée surnommée la vie dont elles font la magie!
Poème n°1 Alain Laget, j’ai beaucoup aimé votre poème, Alain. Je l’ai relu suite à une critique disant qu’il était “hors sujet”. Après relecture, j’ai trouvé les éléments qui font que non, il n’est pas hors sujet, pas plus que certains que j’ai lus et qui pourtant sont très sollicités. Bien sûr Dominique est mort parce qu’il était différent : sans maison, sans argent, la faim au ventre. Dans l’indifférence il y a “Différence”, l’indifférence est le déni de la différence. J’ai été très ému. Traiter le sujet des sans abris de façon si poétique, c’est tout à votre honneur. J’ai voté en anonyme je vous ai mis un 8. Je ne suis pas arrivée à me connecter avec mon compte membre.
Je suis effarée de voir le nombre de 0, de 2…. mais qu’il faut être ridicule !
Si vous pouvez me donner votre avis sur mon poème page 2 n°6 noble souffrances, je serai heureuse.
Bonne chance
Christine Domenge
Invité
Anonyme
28 juin 2015 23 h 03 min
J’ai bien apprécié ‘Le regard de l’autre’ no 59 page 10 Nadia Tayar, Bravo au poète !
Invité
Anonyme
28 juin 2015 12 h 41 min
Bonjour, je trouve votre poème assez bien N° 99(note 8), dite moi pour le 136 svp p 25
Invité
Anonyme
28 juin 2015 11 h 09 min
J’ai beaucoup aimé le no 59 lLe regard de l’autre en page 10 Nadia Tayar . Ce poème est précis et évoque le theme de la Différence tel que je le ressens
Attention vous avez jusqu’au 30 juin pour noter et commenter les poèmes des participants, plus que quelques jours !! Le résultat des votes sera affiché sur le site et les réseaux communautaires à partir du 2 juillet.
Les commentaires et appréciations sont également utilisés dans les critères de sélection du Jury.
Il appartient à chacun de donner son avis personnel et d’utiliser cet outil afin de mieux apprécier le contenu des textes proposés par les participants.
Avant ou après votre vote, n’hésitez pas de donner vos impressions, votre ressenti, votre avis et vos critiques sur les différents poèmes des participants en ajoutant des commentaires.
Merci à tous de votre participation et de votre intérêt pour les activités littéraires du site Plume de Poète !
Invité
FawZia
28 juin 2015 0 h 49 min
Bonsoir, poètes et amoureux de la littératures :)
mon poème et le 139 page 24, c’est une première pour moi, j’avoue avoir fait des erreurs malheureusement, que ce n’est pas aussi beau que ça….mais malgré cela j’espère avoir des avis des critiques si possible, je vous serai reconnaissante.
Amicalement,
212 page 37 Plus ou moins , j’aime comment est traité le thème “le toi et le moi ” une approche si juste
Venez me découvrir page 4 le 21 IDEM Merci
Invité
Anonyme
25 juin 2015 16 h 40 min
numéro 105 Stéphane Mansour
Invité
25 juin 2015 16 h 05 min
Le 181 est profond, le 71 est original , le 139 joli mais c’est le N° 152 “Soraya ” qui m’a le plus interpellé, quelle plume superbe et un sujet sur une différence en plein dans l’actualité.
D’abord un très très grand merci pour ta critique :elle m’ a rempli de coeur de bonheur!! Enfin quelqu’un avait compris et apprécié mon poème. J’aime beaucoup le tien car plein de sensibilité et vérité!ton poème no 212 avant dernière page,je donne les coordonnées pour que d’autres y prêtent attention!Continue à écrire de belles choses….
Invité
Sab´
22 juin 2015 0 h 40 min
Le texte 143 de Giséle Evrot est trés émouvant et il sort des clichés que nous pouvons nous faire sur la différence. Elle aborde la difference autrement et c’est trés touchant. Bravo!
Merci Michèle je suis l’auteur du N° 152 “Soraya” et j’adhère totalement @ votre analyse . Je vous souhaite un excellent premier jour d’été !
Invité
Calogero
21 juin 2015 15 h 50 min
124, Passage clandestin de J.N Agera- nous sommes en plein dedans – il faut avoir connu la nuit, la différence, la fuite, pour goûter ce texte bref, concis, poignant et si évocateur – pas la peine de trop de mots pour dépeindre ce passage de la nuit au jour (métaphore), faire de la poésie avec le malheur nécessite décence et brièveté. L’auteur doit se sentir concerné.
Poème 145 de Marie Christine Bossis…. une belle écriture, écrit avec justesse et répondant bien au thème de la différence …profondeur du texte qui apporte à la lecture de ce poème une belle émotion ! bravo Marie Christine…. Elisabeth (mon poème est le N° 212 “plus ou Moins” )
N° 63. Gilbert Guingant – « Les différences qui ne créent pas de différends ? » excellent titre et
le N°71 Emmanuel Alcaraz Diversité Que je continue de préférer .
Mais la plupart des poèmes sont de très bonne qualité et surtout remplis d’émotions.
Un grand merci pour ces voyages émotionnels donc et bonne chance @ tous
Christine votre poème est très beau mais le sujet est la différence:d’être invalide n’est pas la seule différence dans la vie!Elle est partout, tout autour de nous!! Bonne soirée d’Athènes!Marie-Christine
Graziella, votre poème est très joli. Lorsqu’un poème ne me plait pas,je ne mets pas de note. Vous êtes la première à me féliciter!! Vous savez pourquoi? parce que je ne me suis pas arrêtée sur une sorte de différence. J’ai déjà expliqué qu’ayant vécu avec un invalide et vivant dans un pays étranger – j’ai entendu beaucoup de choses désagréables de la part des Grecs de Smyrni qui ont vu les Français coupés les mains des Grecs qui essayaient de monter à bord des bateaux de la marine nationale française pour sauver leur vie soit de la noyade soit des Turcs, il n’y a pas que la couleur qui fait des différences !il y a les résultats de mauvaise politique!-je ne vois pas de différence entre les êtres humains à cause des nationalités ou des races ou encore des invalidités.Les Grecs sont très philosophes -c’est dans ce pays que la philo est née d’ailleurs- et tous ont réagi comme moi:la différence est partout,tout autour de nous à toute heure de notre vie!Je vous laisse vous souhaitant un heureux samedi-dimanche!! Marie-Christine
159. Graziella Richard-Pezin Très beau poème sur le handicap, la différence en prenant à témoin la beauté. La beauté comme la conçoivent certains en ne pensant qu’au physique n’est qu’un leurre, éphémère, masque. La beauté du coeur est faite d’amour, d’empathie, de générosité et de respect. Une belle leçon de morale que beaucoup feraient bien d’appliquer ! Merci Graziella. Si vous voulez lire mon poème et me donner un avis c’est le n°6 page 2 nobles souffrances
Christine Domenge.
N°153 Myriam Ghibbaudo : très beau texte, avec des phrases courtes comme je les aime, des mots qui frappent. Tout est fort jusqu’aux larmes. Merci.
Christine Domenge je participe avec le poème n°6 page 2
N°145 Marie Christine Bossis un bel hommage à l’enfance et à la vie. C’est presque un cri de joie votre poème, et il a ensoleillé mon coeur. Bravo. Je ne note que les poèmes que j’aime car je n’attribue aucune note en dessous de 8, je ne ferai pas ce qu’ont fait certains avec des 0 et des 2. Bonne chance à vous. Si vous désirez me lire et donner un avis : poème n°6 page 2 Nobles souffrances de christine Domenge
Christine.
N°88 Alain Verdure :” Car tu as dans ton cœur ce que j’ai moi aussi,On a le même amour dans le fond de nos yeux.” Vraiment très touchée et émue par votre poème. Exprimer la différence avec tant de douceur, cela n’est pas donné à tout le monde. Ma note a été à la hauteur de mes sentiments. Je participe aussi avec le n°6 page 2 “Noble souffrance” si vous avez envie de le lire et de donner un avis….. Bravo.
Christine Domenge
N° 87 Didier Caille, j’ai bien aimé votre poème un joli cri d’amour. J’ai voté en anonyme car impossible de me connecter en tant que membre. Je participe moi-même avec le poème n°6 page 2 “Nobles souffrances”, un avis m’interesserait ? Merci bonne continuation
Christine
INFORMATION CONCOURS POÉSIE 2015
Pour des raisons évidentes de parité entre les participants et afin de ne pas défavoriser certains concurrents qui subissent des atteintes personnelles ou des vengeances par d’autres personnes, je vous informe que le Jury ne tiendra pas compte de tous les zéros qui sont attribués sur les poèmes.
Nous ne sommes pas ici dans un esprit de compétition et il est fort regrettable de constater de tels agissements envers les auteurs qui ont mis tout leur coeur pour écrire ces textes, tous les poèmes sont beaux et ne méritent aucunement ce genre d’atteinte.
Je regrette d’avoir installé un système de notation injuste pour tout le monde car il est trop dépendant de nombreux critères qui influencent et perturbent le concours dans l’esprit convivial que nous souhaitons tous, pour le bien de tous.
Par conséquent, je rappelle que les votes ne seront pas l’atout majeur de décision pour les membres du Jury, qui regardera les commentaires, le respect du thème, les fautes d’orthographe et la qualité des textes en premier.
J’espère ainsi apaiser les rumeurs et les conflits et je suis vraiment navrer de constater ces débordements qui ne méritent aucun intérêt dans un esprit un peu “école primaire” que nous devons écarter pour poursuivre ce concours dans un tout autre esprit cher au site Plume de Poète qui se dirige vers le partage, l’échange, le rassemblement et le bonheur de faire découvrir les auteurs et de découvrir les poèmes.
Merci de votre compréhension et de votre participation.
Bien à vous,
Alain Bonati
Invité
19 juin 2015 3 h 26 min
9. Laura Joannidis – « Différence à l’indifférence »
La poétesse ici lance un vibrant plaidoyer en faveur de la complémentarité des différences. Elle nous invite à célébrer ce qui nous distingue et non de se complaire dans ce qui nous assimile. Ce poème est simple et beau. Je m’étais promis d’attendre un jour avant de le commenter, mais ayant échangé quelque peu avec l’auteure, je crois qu’elle appréciera que mon commentaire soit posté immédiatement. Bonne nuit à tous!
je choisie le n 25 en /n 2 très profond , toute notre hère y est ,bravo poète
Alain Bonati n 1 bravo sublime
Invité
19 juin 2015 1 h 20 min
164. Lucien Paul Consel – « Figures nègres » Un texte dur, mais qui interpelle. Merci.
Invité
19 juin 2015 1 h 12 min
146. Sylvain Jéronymos – « Ils sont gays » J’aime quand un hétéro prend la peine de défendre les droits des gays. J’aime votre belle compréhension des choses. Merci.
Invité
19 juin 2015 1 h 06 min
140. Robert Lepage – « La différence perdue » Superbe. Content aussi de reconnaître la langue de chez-nous. Touchant aussi.
Invité
19 juin 2015 0 h 58 min
126. Abdelkrim Bendahou – « Sonnet à mon frère humain » Très bel effort. Difficile d’écrire un sonnet. Bravo !
Invité
19 juin 2015 0 h 55 min
124. John Nash F. Agera – « Passage clandestin » Très beau texte. Très belles images.
Invité
19 juin 2015 0 h 38 min
79. Stéphan Mary – La robe. Très touchant. Très bien raconté. Merci
Invité
19 juin 2015 0 h 22 min
Poème no 26. Fattoum nous lance son cri du coeur pour le respect de la différence entre les peuples. C’est un thème cher à la poétesse. Merci pour ce beau texte.
Invité
Anonyme
18 juin 2015 21 h 12 min
Numerau 59 – Le Regard de l’autre – en page 10 – Nadia Tayar –
J’ai ete profondement emue par la sincerite et la profondeur des sentiments du poete. La beaute des images se marie parfaitement avec le choix du langage poetique. Toute la lecture du poeme m’a profondement touchee et je me suis identifiee avec les epreuves vecues par le poete. Je recommande sans aucun doute ce poeme pour un premier prix. Toutes me felicitations au poete!
Invité
EVROT Gisèle
17 juin 2015 20 h 30 min
Merci Madame F.BatMax d’avoir pris le temps de lire mon poème, vous avez bien saisi le réalisme de mon texte.Passez une belle soirée.
Je viens de lire le poème N° 152 de Sabrina Desquiens “Soraya”….
C’est un magnifique poème, très bel éloge à la liberté d’être….mais je ne vois pas où se trouve le thème “la différence” dans ce très beau poème…
Il me semble qu’il ne répond pas au sujet demandé….et c’est bien dommage !
Je n’ai pas noté ce poème pour cette raison….Pourtant il aurait juste fallu insisté sur un point ou 2 pour justement traité de la différence !
Enfin c’est juste un avis personnel ….mais quelle belle écriture ! Bravo pour cela!
Elisabeth Charpentier Leuxe (poème participant N°212)
Bonjour à toutes et tous. Pour le poème n° 79 “La robe” qui traite de la différence des travestis sans travestir la réalité d’existences qui sont enfermées dans le regard des autres. Une différence qui remue à en perdre la tête et la photo est là pour rappeler à quel point le corps-mannequin est un référent social dans lequel il semble si difficile d’être différent’e, différence qui ne laisse personne indifférent. Nonobstant que l’écriture de ce poème sort des sentiers battus et ne souffre pas de faute. A vos plumes ami’es poètes (Lire est déjà être poète)
Je vous rappelle que chaque personne qui vote a le droit de voter 2 fois maximum pour chaque poème et qu’il ne sert absolument à rien de voter outre mesure puisque les votes frauduleux sont systématiquement supprimés de la base de données en fonction des adresses IP de chaque votant.
Nous avons constaté que certains poèmes recevaient jusqu’à 10 votes de la même personne, voir parfois beaucoup plus, à quoi bon défavoriser les autres participants ? Que faut il penser de tels agissements ?
Nous sommes tous ici pour participer, échanger, partager et trouver un petit peu de bonheur dans ce merveilleux rassemblement de 149 poètes des quatre coins du monde, il ne s’agit pas d’une compétition mais d’une grande joie de pouvoir réaliser cette aventure ensemble dans un esprit convivial afin de se faire connaitre, de faire connaitre les poèmes, les auteurs, et d’apporter à chacun un petit plus par cet intermédiaire.
Je rappelle également que les votes ne sont pas le principal critère de sélection des membres du Jury, le respect du thème, les fautes d’orthographe et la qualité des textes sont prioritaires.
Merci de bien vouloir respecter le nombre de votes pour chaque poème, vous respecterez ainsi le bon déroulement du concours et surtout la parité entre tous les participants.
En espérant votre compréhension, bonne continuation aux participants et bons votes et commentaires aux lecteurs et visiteurs.
Bien à vous,
Alain Bonati
le poème 152 est très beau mais ne parle que d’une femme bien sûre différente d’autres mais pas de la “différence” donc il faudrait peut-être se mettre d’accord:ou on écrit ce que l’on veut sans thème ou on suit les règles du concours! Dans la vie,il faut se décider:on ne perd pas sa liberté si on suit des règles une fois de temps en temps.
Invité
Taillefer Richard
17 juin 2015 6 h 04 min
Richard Taillefer page 27 texte 154;
Poètes, rangez vos mouchoirs, sortez vos mots à la face d’un monde qui n’a que pour finalité, la vanité et les fausses idoles. Ne restez pas figés sur vos tours d’ivoire. On vous espère, on vous attend dans les caniveaux de l’espoir pour apporter votre modeste lumière et donner du sens à nos vies confisquées. La poésie n’est pas la face honteuse et cachée de la littérature, elle en est le diamant brut.
R.T
Invité
Anonyme
16 juin 2015 20 h 56 min
Le poème n° 6 témoigne de la grande résilience d’une grande dame, elle mérite beaucoup!
Poème n°1 Alain Laget, j’ai beaucoup aimé votre poème, Alain. Je l’ai relu suite à une critique disant qu’il était “hors sujet”. Après relecture, j’ai trouvé les éléments qui font que non, il n’est pas hors sujet, pas plus que certains que j’ai lus et qui pourtant sont très sollicités. Bien sûr Dominique est mort parce qu’il était différent : sans maison, sans argent, la faim au ventre. Dans l’indifférence il y a “Différence”, l’indifférence est le déni de la différence. J’ai été très ému. Traiter le sujet des sans abris de façon si poétique, c’est tout à votre honneur. J’ai voté en anonyme je vous ai mis un 8. Je ne suis pas arrivée à me connecter avec mon compte membre.
Je suis effarée de voir le nombre de 0, de 2…. mais qu’il faut être ridicule !
Si vous pouvez me donner votre avis sur mon poème page 2 n°6 noble souffrances, je serai heureuse.
Bonne chance
Christine Domenge
J’ai bien apprécié ‘Le regard de l’autre’ no 59 page 10 Nadia Tayar, Bravo au poète !
Bonjour, je trouve votre poème assez bien N° 99(note 8), dite moi pour le 136 svp p 25
J’ai beaucoup aimé le no 59 lLe regard de l’autre en page 10 Nadia Tayar . Ce poème est précis et évoque le theme de la Différence tel que je le ressens
Attention vous avez jusqu’au 30 juin pour noter et commenter les poèmes des participants, plus que quelques jours !! Le résultat des votes sera affiché sur le site et les réseaux communautaires à partir du 2 juillet.
Les commentaires et appréciations sont également utilisés dans les critères de sélection du Jury.
Il appartient à chacun de donner son avis personnel et d’utiliser cet outil afin de mieux apprécier le contenu des textes proposés par les participants.
Avant ou après votre vote, n’hésitez pas de donner vos impressions, votre ressenti, votre avis et vos critiques sur les différents poèmes des participants en ajoutant des commentaires.
Merci à tous de votre participation et de votre intérêt pour les activités littéraires du site Plume de Poète !
Bonsoir, poètes et amoureux de la littératures :)
mon poème et le 139 page 24, c’est une première pour moi, j’avoue avoir fait des erreurs malheureusement, que ce n’est pas aussi beau que ça….mais malgré cela j’espère avoir des avis des critiques si possible, je vous serai reconnaissante.
Amicalement,
FawZia
212 page 37 Plus ou moins , j’aime comment est traité le thème “le toi et le moi ” une approche si juste
Venez me découvrir page 4 le 21 IDEM Merci
numéro 105 Stéphane Mansour
Le 181 est profond, le 71 est original , le 139 joli mais c’est le N° 152 “Soraya ” qui m’a le plus interpellé, quelle plume superbe et un sujet sur une différence en plein dans l’actualité.
Poème 117 et 9 sont a perdre a compte et lire a travers les mots ,je l’ais aime bien ,bises tendresse a tous poètes / poétesses
Je vois des commentaires pour des 0, des votes 10 fois même adresse ip… On ne joue pas notre vie :) !!!
D’abord un très très grand merci pour ta critique :elle m’ a rempli de coeur de bonheur!! Enfin quelqu’un avait compris et apprécié mon poème. J’aime beaucoup le tien car plein de sensibilité et vérité!ton poème no 212 avant dernière page,je donne les coordonnées pour que d’autres y prêtent attention!Continue à écrire de belles choses….
Le texte 143 de Giséle Evrot est trés émouvant et il sort des clichés que nous pouvons nous faire sur la différence. Elle aborde la difference autrement et c’est trés touchant. Bravo!
Merci Michèle je suis l’auteur du N° 152 “Soraya” et j’adhère totalement @ votre analyse . Je vous souhaite un excellent premier jour d’été !
124, Passage clandestin de J.N Agera- nous sommes en plein dedans – il faut avoir connu la nuit, la différence, la fuite, pour goûter ce texte bref, concis, poignant et si évocateur – pas la peine de trop de mots pour dépeindre ce passage de la nuit au jour (métaphore), faire de la poésie avec le malheur nécessite décence et brièveté. L’auteur doit se sentir concerné.
Poème 145 de Marie Christine Bossis…. une belle écriture, écrit avec justesse et répondant bien au thème de la différence …profondeur du texte qui apporte à la lecture de ce poème une belle émotion ! bravo Marie Christine…. Elisabeth (mon poème est le N° 212 “plus ou Moins” )
181. Christian Chinarro – « Balade urbaine des aubains » Un travail d’orfèvre …
le poème 174 est juste magnifique! Je croirai lire du Cyrano de Bergerac. Bravo à toi Daniele Marino!
N° 63. Gilbert Guingant – « Les différences qui ne créent pas de différends ? » excellent titre et
le N°71 Emmanuel Alcaraz Diversité Que je continue de préférer .
Mais la plupart des poèmes sont de très bonne qualité et surtout remplis d’émotions.
Un grand merci pour ces voyages émotionnels donc et bonne chance @ tous
Une excellente décision que de supprimer les zéro des notes. Une décision sage et saine. Bravo et merci Alain
Ouarda N°13 Une plume légère qui a su saisir la complexité des relations humaines. J’ai mis un 10 on sent la poètesse d’expérience.
Christine votre poème est très beau mais le sujet est la différence:d’être invalide n’est pas la seule différence dans la vie!Elle est partout, tout autour de nous!! Bonne soirée d’Athènes!Marie-Christine
Graziella, votre poème est très joli. Lorsqu’un poème ne me plait pas,je ne mets pas de note. Vous êtes la première à me féliciter!! Vous savez pourquoi? parce que je ne me suis pas arrêtée sur une sorte de différence. J’ai déjà expliqué qu’ayant vécu avec un invalide et vivant dans un pays étranger – j’ai entendu beaucoup de choses désagréables de la part des Grecs de Smyrni qui ont vu les Français coupés les mains des Grecs qui essayaient de monter à bord des bateaux de la marine nationale française pour sauver leur vie soit de la noyade soit des Turcs, il n’y a pas que la couleur qui fait des différences !il y a les résultats de mauvaise politique!-je ne vois pas de différence entre les êtres humains à cause des nationalités ou des races ou encore des invalidités.Les Grecs sont très philosophes -c’est dans ce pays que la philo est née d’ailleurs- et tous ont réagi comme moi:la différence est partout,tout autour de nous à toute heure de notre vie!Je vous laisse vous souhaitant un heureux samedi-dimanche!! Marie-Christine
159. Graziella Richard-Pezin Très beau poème sur le handicap, la différence en prenant à témoin la beauté. La beauté comme la conçoivent certains en ne pensant qu’au physique n’est qu’un leurre, éphémère, masque. La beauté du coeur est faite d’amour, d’empathie, de générosité et de respect. Une belle leçon de morale que beaucoup feraient bien d’appliquer ! Merci Graziella. Si vous voulez lire mon poème et me donner un avis c’est le n°6 page 2 nobles souffrances
Christine Domenge.
N°153 Myriam Ghibbaudo : très beau texte, avec des phrases courtes comme je les aime, des mots qui frappent. Tout est fort jusqu’aux larmes. Merci.
Christine Domenge je participe avec le poème n°6 page 2
N°145 Marie Christine Bossis un bel hommage à l’enfance et à la vie. C’est presque un cri de joie votre poème, et il a ensoleillé mon coeur. Bravo. Je ne note que les poèmes que j’aime car je n’attribue aucune note en dessous de 8, je ne ferai pas ce qu’ont fait certains avec des 0 et des 2. Bonne chance à vous. Si vous désirez me lire et donner un avis : poème n°6 page 2 Nobles souffrances de christine Domenge
Christine.
N°88 Alain Verdure :” Car tu as dans ton cœur ce que j’ai moi aussi,On a le même amour dans le fond de nos yeux.” Vraiment très touchée et émue par votre poème. Exprimer la différence avec tant de douceur, cela n’est pas donné à tout le monde. Ma note a été à la hauteur de mes sentiments. Je participe aussi avec le n°6 page 2 “Noble souffrance” si vous avez envie de le lire et de donner un avis….. Bravo.
Christine Domenge
N° 87 Didier Caille, j’ai bien aimé votre poème un joli cri d’amour. J’ai voté en anonyme car impossible de me connecter en tant que membre. Je participe moi-même avec le poème n°6 page 2 “Nobles souffrances”, un avis m’interesserait ? Merci bonne continuation
Christine
INFORMATION CONCOURS POÉSIE 2015
Pour des raisons évidentes de parité entre les participants et afin de ne pas défavoriser certains concurrents qui subissent des atteintes personnelles ou des vengeances par d’autres personnes, je vous informe que le Jury ne tiendra pas compte de tous les zéros qui sont attribués sur les poèmes.
Nous ne sommes pas ici dans un esprit de compétition et il est fort regrettable de constater de tels agissements envers les auteurs qui ont mis tout leur coeur pour écrire ces textes, tous les poèmes sont beaux et ne méritent aucunement ce genre d’atteinte.
Je regrette d’avoir installé un système de notation injuste pour tout le monde car il est trop dépendant de nombreux critères qui influencent et perturbent le concours dans l’esprit convivial que nous souhaitons tous, pour le bien de tous.
Par conséquent, je rappelle que les votes ne seront pas l’atout majeur de décision pour les membres du Jury, qui regardera les commentaires, le respect du thème, les fautes d’orthographe et la qualité des textes en premier.
J’espère ainsi apaiser les rumeurs et les conflits et je suis vraiment navrer de constater ces débordements qui ne méritent aucun intérêt dans un esprit un peu “école primaire” que nous devons écarter pour poursuivre ce concours dans un tout autre esprit cher au site Plume de Poète qui se dirige vers le partage, l’échange, le rassemblement et le bonheur de faire découvrir les auteurs et de découvrir les poèmes.
Merci de votre compréhension et de votre participation.
Bien à vous,
Alain Bonati
9. Laura Joannidis – « Différence à l’indifférence »
La poétesse ici lance un vibrant plaidoyer en faveur de la complémentarité des différences. Elle nous invite à célébrer ce qui nous distingue et non de se complaire dans ce qui nous assimile. Ce poème est simple et beau. Je m’étais promis d’attendre un jour avant de le commenter, mais ayant échangé quelque peu avec l’auteure, je crois qu’elle appréciera que mon commentaire soit posté immédiatement. Bonne nuit à tous!
je choisie le n 25 en /n 2 très profond , toute notre hère y est ,bravo poète
Alain Bonati n 1 bravo sublime
164. Lucien Paul Consel – « Figures nègres » Un texte dur, mais qui interpelle. Merci.
146. Sylvain Jéronymos – « Ils sont gays » J’aime quand un hétéro prend la peine de défendre les droits des gays. J’aime votre belle compréhension des choses. Merci.
140. Robert Lepage – « La différence perdue » Superbe. Content aussi de reconnaître la langue de chez-nous. Touchant aussi.
126. Abdelkrim Bendahou – « Sonnet à mon frère humain » Très bel effort. Difficile d’écrire un sonnet. Bravo !
124. John Nash F. Agera – « Passage clandestin » Très beau texte. Très belles images.
79. Stéphan Mary – La robe. Très touchant. Très bien raconté. Merci
Poème no 26. Fattoum nous lance son cri du coeur pour le respect de la différence entre les peuples. C’est un thème cher à la poétesse. Merci pour ce beau texte.
Numerau 59 – Le Regard de l’autre – en page 10 – Nadia Tayar –
J’ai ete profondement emue par la sincerite et la profondeur des sentiments du poete. La beaute des images se marie parfaitement avec le choix du langage poetique. Toute la lecture du poeme m’a profondement touchee et je me suis identifiee avec les epreuves vecues par le poete. Je recommande sans aucun doute ce poeme pour un premier prix. Toutes me felicitations au poete!
Merci Madame F.BatMax d’avoir pris le temps de lire mon poème, vous avez bien saisi le réalisme de mon texte.Passez une belle soirée.
Un bravo particulier à l’auteur du n°143 : Petit Pierre, dont le texte plein de justesse a su m’émouvoir.
le 56 et le 59 page 10 … me parle beaucoup ,j’aime comment est traité le thème de la différence . Retrouvez moi page 4 le 21 pour un commentaire
le 51 page 9 , simplement magnifique pour ma part retrouver moi page 4 le 21 juste pour un commentaire
Je viens de lire le poème N° 152 de Sabrina Desquiens “Soraya”….
C’est un magnifique poème, très bel éloge à la liberté d’être….mais je ne vois pas où se trouve le thème “la différence” dans ce très beau poème…
Il me semble qu’il ne répond pas au sujet demandé….et c’est bien dommage !
Je n’ai pas noté ce poème pour cette raison….Pourtant il aurait juste fallu insisté sur un point ou 2 pour justement traité de la différence !
Enfin c’est juste un avis personnel ….mais quelle belle écriture ! Bravo pour cela!
Elisabeth Charpentier Leuxe (poème participant N°212)
Bonjour à toutes et tous. Pour le poème n° 79 “La robe” qui traite de la différence des travestis sans travestir la réalité d’existences qui sont enfermées dans le regard des autres. Une différence qui remue à en perdre la tête et la photo est là pour rappeler à quel point le corps-mannequin est un référent social dans lequel il semble si difficile d’être différent’e, différence qui ne laisse personne indifférent. Nonobstant que l’écriture de ce poème sort des sentiers battus et ne souffre pas de faute. A vos plumes ami’es poètes (Lire est déjà être poète)
Je vous rappelle que chaque personne qui vote a le droit de voter 2 fois maximum pour chaque poème et qu’il ne sert absolument à rien de voter outre mesure puisque les votes frauduleux sont systématiquement supprimés de la base de données en fonction des adresses IP de chaque votant.
Nous avons constaté que certains poèmes recevaient jusqu’à 10 votes de la même personne, voir parfois beaucoup plus, à quoi bon défavoriser les autres participants ? Que faut il penser de tels agissements ?
Nous sommes tous ici pour participer, échanger, partager et trouver un petit peu de bonheur dans ce merveilleux rassemblement de 149 poètes des quatre coins du monde, il ne s’agit pas d’une compétition mais d’une grande joie de pouvoir réaliser cette aventure ensemble dans un esprit convivial afin de se faire connaitre, de faire connaitre les poèmes, les auteurs, et d’apporter à chacun un petit plus par cet intermédiaire.
Je rappelle également que les votes ne sont pas le principal critère de sélection des membres du Jury, le respect du thème, les fautes d’orthographe et la qualité des textes sont prioritaires.
Merci de bien vouloir respecter le nombre de votes pour chaque poème, vous respecterez ainsi le bon déroulement du concours et surtout la parité entre tous les participants.
En espérant votre compréhension, bonne continuation aux participants et bons votes et commentaires aux lecteurs et visiteurs.
Bien à vous,
Alain Bonati
différent….différence….tiens tiens…quelle différence ?
le poème 152 est très beau mais ne parle que d’une femme bien sûre différente d’autres mais pas de la “différence” donc il faudrait peut-être se mettre d’accord:ou on écrit ce que l’on veut sans thème ou on suit les règles du concours! Dans la vie,il faut se décider:on ne perd pas sa liberté si on suit des règles une fois de temps en temps.
Richard Taillefer page 27 texte 154;
Poètes, rangez vos mouchoirs, sortez vos mots à la face d’un monde qui n’a que pour finalité, la vanité et les fausses idoles. Ne restez pas figés sur vos tours d’ivoire. On vous espère, on vous attend dans les caniveaux de l’espoir pour apporter votre modeste lumière et donner du sens à nos vies confisquées. La poésie n’est pas la face honteuse et cachée de la littérature, elle en est le diamant brut.
R.T
Le poème n° 6 témoigne de la grande résilience d’une grande dame, elle mérite beaucoup!