Merci, mois de l’espoir pensant encore à nous
Annonçant le printemps, les oiseaux et les fleurs
Rude était l’hiver et durs étaient les cœurs
Sois généreux, ô mars, appelé mois des fous
Avril est au milieu, c’est le mois des surprises
Violettes et pensées tapissent la campagne
Respirons pleinement, regardons la montagne
Ivresse inégalée et que rien n’amenuise
La joie est de retour, partout qu’on se le dise
Muguets à profusion ouvrant le bal de mai
Ajoutant au labeur un charme confirmé
Iris et pivoines sont amis désormais
Brahim. B
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L’acrostiche (comme le calligramme) est une “acrobatie linguistique” assez ardue. j’aime beaucoup celui-ci, très réussi, “ouvrant le bal” du printemps, d’autant que les printemps me sont maintenant comptés. Il est frais, odorant ; mieux : roboratif.
Bien à vous,
G.T.
Merci pour l’agréable visite et pour le commentaire intéressant !
Merci, mois de l’espoir pensant encore à nous
Annonçant le printemps, les oiseaux et les fleurs
Rude était l’hiver et durs étaient les cœurs
Sois généreux, ô mars, appelé mois des fous
Brahim, ton poème est comme les fleurs : plein de gaieté et de couleurs !
Merci, Odile, pour ton agréable visite et ton beau et parfumé bouquet de fleurs !