A MES ENFANTS
La vie m’a donné trois garçons
Leurs venues au monde, m’a comblé
Entre nous , l’amour a fusionné
Bien que chacun , gardait sa liberté
Maintenant à la fin de mon parcours
Je peux toujours ,compter sur leur bravoure
Comme les anges , sous leurs ailes
Ils me protègent , quand soudain
Leurs conseils ,viennent à mon oreille
Mon bonheur se réveille
Faire confiance à mon tour
Me reposer sur leur amour
En l’an mille neuf soixante six
Un quatrième enfant est né, une fille
Elle fut, le plus beau cadeau pour son père
Bébé tout en beauté,elle reçu le prix
Qui fut pour elle une bénédiction
De ses parents , ses frères toute la famille
Toute notre attention ,lui a été donnée
Mais c’est compliqué , entre mère et fille
Nos ressentis , comme toutes nos sensations
Ne laissent en moi, que désillusion
Ses sentiments ,ont virés en désamour
Depuis longtemps ,depuis toujours
Elle ne vit que pour son papa
S’occupe de lui ,depuis des temps
Moi sa mère, je reste une étrangère
Avec moi , plus rien ne va
Elle tire à elle, tous les hommages
Ces relations avec autrui ,sont très étranges
Elle veut paraître et c’est dommage
Nul ne saura qui elle est , car dans ses bagages
Elle emportera le secret de son challenge
Pourquoi, cette haine , cette rancœur
Pour qu’elle me déteste ,comme ça l’arrange
Ainsi elle garde en elle ,tout son honneur
Texte de Colette Guinard
Oui un sujet qui sème bien des réflexions entre les parents et les enfants…
J’ai bien connu cette situation il y a quelques années, mais ne désespérez pas Colette, je peux vous dire qu’un jour ou l’autre le soleil brillera à nouveau car ce lien qui vous uni ne peut se rompre à jamais. L’espoir est toujours là qui fait parfois des miracles.
Merci, Colette, pour ce partage émouvant provenant d’une Dame au grand cœur qui ignore la rancœur !
Colette, votre texte est touchant.
Et certainement fera écho
Au cœur de bien des parents
(Et d’enfants) aux émotions et sentiments
Blessés…
Merci, pour ce partage.
Complexes sont les relations
Les relations entre les êtres sont telles des montagnes, il y a des hauts, il y a des bas. Aujourd’hui vous êtes au creux de la vallée, et qui sait si demain vous ne reverrez pas le magnifique lever de soleil du haut du plus grand des sommets, ce lever de soleil que moi j’appelle la tendresse. Elle a été, elle s’est en allée, elle reviendra, qui sait…