Encore quelques semaines d’attente et nous saurons
Si tous les trois, un beau jour, nous nous reverrons.
Avant cela, on te montrera une photo.
C’est elle qui te fera décider si bientôt
Tu voudras alors de nous : Papi et Mamie.
Toi mon petit Ethan, qui loin de nous, grandis…
Encore quelques semaines d’attente et nous saurons
Si tu veux les cadeaux que nous t’offrirons.
Tout cela dépendra de toi petit bonhomme,
Toi qu’hier nous avons quitté, haut comme trois pommes…
En ce beau jour, au fond de nous si espéré,
Viendras-tu dans nos bras pour y être embrassé
Pour entendre, tout bas, que tu nous as manqués ?
Ne nous en veux pas si nous sommes maladroits.
Ce sera nouveau pour nous, comme une première fois.
Si tu préfères ne pas nous revoir,
Ce sera ton choix. Nous ne ferons pas d’histoires.
Oui, tout cela ne serait jamais arrivé
Si en famille d’accueil, tu n’avais été placé.
Bonjour Alain !
Serait-il possible, là aussi, que vous puissiez me corriger quelques fautes de conjugaison dans cette poésie ? C’est Tyna, en lisant cette dernière, qui a remarqué qu’il y en avait quelques unes… Les voici :
Merci beaucoup Alain !